Si l'on observe le stop de Flarida, là on voit le cheval équilibré, là les abdominaux sont contractés, avec les psoa, toutes les articulations de l'arrière sont fléxionnées. les muscles de soutien de toutes la région du garrot sont sollicités, la force gravitaire du cavalier augmentée par l'inertie est alors repoussée vers le haut. Le cheval n'a pas besoin de projeter son encolure vers le bas, il y a équilibre, ni d'éloigner sa base du tronc parce qu'elle est soudée musculairement à ce dernier, la machine est conforme à la fonction de portage. Il n'y a pas affaissement de l'encolure mais une extension d'encolure sans que le dos y participe. Le cheval est un athlète, il est fort.
Mais attention, j'ai déjà vu beaucoup de chevaux stoper ainsi, mais comme cette conformité au portage est l'oeuvre de la nature sur ces jeunes chevaux et qu'il faut impérativement la conserver par un travail raisonné et si ce n'était pas le cas, on retrouverait quelques mois plus tard tous les subterfuges lors du stop qui sont toujours l'oeuvre du principe du moindre effort.