desolee mais si on commence a parler des brutalites va falloir que les europeens fassent du menage...je parle des chaines de velos sur des chanfreins , des tessons de bouteilles dans des guetres , des marquages aux fers rouges , des courses sur goudrons ou a angles carres...ecc ecc
Il ya bien longtemps(plusieurs siècles) qu'en équitation française on a laissé les brutalités de côté, même si certains essaient de nous faire croire le contraire(la vague des chuchoteurs est passée par l'Europe).
Mais je pense que l'on se trompe sur le fond. En équitation, le minimum à savoir quand on est en selle, c'est la basse école. Si cela n'est pas maîtrisé, quand on rencontre un problème même mineur, on n'a pas de réponse technique a opposé au cheval. Puis vient l'énervement de la part du cavalier ce qui emplifie le problème. Puis la brutalité s'installe comme une réponse générale. Et les brutalités passent toujours dans la bouche du cheval.
Le résultat: des chevaux encapuchonnés, qui se cachent derrière la main impossible à tendre, sans impulsion ( chevaux de pleasure qui se déjuges), qui se ratrappent sur les épaules, le dos creux. Il n'est pas étonnent que tant de chevaux aient des problèmes de raideur.
Pour le commun des cavaliers, la solution passe par une connaissance de l'équitation, et non pas par des trucs et combines. Si tu t'appelle Crésus, avec 100 000.- $, tu obtiendras 234 mais tu ne sera pas un cavalier. Et des chevaux ordinaires il y en a beaucoup. Au cavalier d'être extraordinaire, techniquement parlant