Equitation - Cheval > COMPORTEMENT ET EDUCATION DU CHEVAL
Ce Que ça Fait...
K-roline:
C'est juste plus pratique, moins stressant, plus "facile".
Voici, deux entiers (de sport) fraîchement débourrés qui sont nez l'un, pour sauter l'autre pour dresser, complètement différents mais jusque là, gérables.
A côté de ça, je débourre aussi un hongre : une harpie celui-ci, j'aimerais bien les lui couper mais c'est déjà fait depuis plus d'un an ! (il en a 3)
Pourtant, je suis POUR la castration pour les raisons ci-dessous, pour toutes celles qui prétendent que ça peut être plus violent, dangereux, imprévisible qu'un hongre mais je me sens plus en "sécurité" sur les 2 entiers (l'un fougueux et l'autre sur l'oeil) que sur le hongre complètement lunatique et qui teste soit disant comme un "entier".
Une chose est sûre, il ne faut pas mettre un cheval dans les mains de n'importe qui, hongre, jument ou entier... un entier aura tout de même plus tendance à récupérer sa nature de dominant plus souvent que les autres, ce qui peut être plus difficile à gérer.
jenech:
Je suis tout a fait d accord avec VAL je crois que beaucoup font le complexe de la castration, lire Karl abraham.
http://www.megapsy.com/textes/Abraham/biblio058.htm
On peut aussi lire Freud
C est tres edifiant.
J ai sur un precedent post dit que le debourrage etait a la porteé de quelqu un qui savait monter a cheval.
J'ai peut etre fait une erreur dans le fait qu'avant il n y avait pas les galops, on parlait d'equitation elementaire puis secondaire, Pour quelqu un qui a le galop 3 ou meme 4 je ne suis pas sur que cela s'appel monter a cheval. Recemment j ai vue des reprises avec des gamines qui avait plus d un an d'equitation, cela laisse reveur !!!
Pour citer Maurice Hontang:
De quelles manières s’instruisent nos jeunes cavaliers ? Pris par leur
études ou leurs occupations professionnelles, il s’adonnent à l’équitation dès qu’ils peuvent disposer d’un instant de liberté. Isolés ou
membres de sociétés hippiques urbaines ou rurales, ils suivent des cours aussi régulièrement que possible, souvent le soir dans les centres
urbains. La plupart attendent avec une impatience non déguisée « la minute », c’est bien le terme exact, qui leur dévoilera les émotions
(enivrement ou désillusion !) d’un parcours d’obstacles.
Certes, leur amour du cheval ne peut être mis en doute, mais ils sont trop livrés à eux-mêmes. L’autorité des instructeurs civils ne peut être
aussi efficace que la discipline militaire et dans leur désir de s’instruire, ils quêtent des conseils auprès d’un trop grand nombre de leurs aînés avant d’avoir acquis des principes solides et avant d’être suffisamment débrouillés. Étant donné la relativité de l’application des théories en équitation, ce dont ils sont encore incapables de se rendre compte, il en résulte une grande confusion dans leur esprit et des essais malheureux qui nuisent aux progrès au lieu de les faciliter. Les classes à cheval, sous les drapeaux, conduites, du commencement à la fin, par le même lieutenant, réunissaient autrefois cette unité d’instruction si désirable au début et si difficilement réalisable auprès des cavaliers civils abusant de leur liberté de discussion, trop tentés de mettre la charrue avant les boeufs, et souvent victimes des nécessités de l’existence trépidante de nos jours.
Cette « équitation des gens pressés » due au manque de loisirs, ou à des loisirs trop diversifiés, est néfaste à l’éducation de l’homme de cheval et explique en partie les lacunes parfois grossières dans la connaissance et l’usage général du cheval chez de jeunes cavaliers déjà expérimentés dans la monte sur l’obstacle.
L’esprit de contestation qui se manifeste à tort et à travers et dans tous les domaines depuis 1968, ne peut que nuire à l’étude de longue haleine qu’exige l’équitation et nous ne pouvons que souscrire à l’opinion du colonel Podhajsky' lorsqu’il énonce : (pour la suite voir psychologie du cheval, edition 1989 page 24)
Magali:
Je trouve ça débile de ramener ça à des éléments psychologiques féminins dans la mesure où ce sont d'abord les hommes qui ont castrés les chevaux et que si tu veux rester là dedans, des psys ont aussi dit que de monter un cheval entier pour une femme c'est dominer la virilité de l'homme, la plier, l'écraser et le castrer (l'homme) puisque le cheval est plus puissant que lui et de même les hommes qui montent des entiers ont alors la virilité suprême entre les jambes et se croient devenus irrésistibles...
Y a qu'à voir comme un mec qui n'a jamais vu un cheval réagit la première fois qu'il voit le pénis en général...
Donc bon on sort carément du débat là, les gens qui antropomorphisent sur les chevaux leur font plus de mal que de bien...
jenech:
Je citais freud , qui a fait egalement une analyse en ce qui concerne l homme, la peur de la morsure , etc....
Je n ai pas dit que j etais a 100/100 pour , dans certain cas il y a une part de verite tant pour les hommes que pour les femmes.
Lire freud c est se prendre la tete....
kaarib:
HS : Freud est connu et reconnu comme misogyne au passage.
Au final je pense que entier, jument ou hongre il existe des chevaux faciles et d'autres très très délicats. Malheureusement pour eux c'est souvent les entiers qui se retrouvent "à problèmes" du fait de leur éducation, de leurs proprio et très souvent de leur mode de vie.
Donc oui a la castration quand il n'y a pas de but reproductif et avec une visée de loisirs.
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