Je suis tout a fait d accord avec VAL je crois que beaucoup font le complexe de la castration, lire Karl abraham.
http://www.megapsy.com/textes/Abraham/biblio058.htm' target='_blank'>
http://www.megapsy.com/textes/Abraham/biblio058.htmOn peut aussi lire Freud
C est tres edifiant.
J ai sur un precedent post dit que le debourrage etait a la porteé de quelqu un qui savait monter a cheval.
J'ai peut etre fait une erreur dans le fait qu'avant il n y avait pas les galops, on parlait d'equitation elementaire puis secondaire, Pour quelqu un qui a le galop 3 ou meme 4 je ne suis pas sur que cela s'appel monter a cheval. Recemment j ai vue des reprises avec des gamines qui avait plus d un an d'equitation, cela laisse reveur !!!
Pour citer Maurice Hontang:
De quelles manières s’instruisent nos jeunes cavaliers ? Pris par leur
études ou leurs occupations professionnelles, il s’adonnent à l’équitation dès qu’ils peuvent disposer d’un instant de liberté. Isolés ou
membres de sociétés hippiques urbaines ou rurales, ils suivent des cours aussi régulièrement que possible, souvent le soir dans les centres
urbains. La plupart attendent avec une impatience non déguisée « la minute », c’est bien le terme exact, qui leur dévoilera les émotions
(enivrement ou désillusion !) d’un parcours d’obstacles.
Certes, leur amour du cheval ne peut être mis en doute, mais ils sont trop livrés à eux-mêmes. L’autorité des instructeurs civils ne peut être
aussi efficace que la discipline militaire et dans leur désir de s’instruire, ils quêtent des conseils auprès d’un trop grand nombre de leurs aînés avant d’avoir acquis des principes solides et avant d’être suffisamment débrouillés. Étant donné la relativité de l’application des théories en équitation, ce dont ils sont encore incapables de se rendre compte, il en résulte une grande confusion dans leur esprit et des essais malheureux qui nuisent aux progrès au lieu de les faciliter. Les classes à cheval, sous les drapeaux, conduites, du commencement à la fin, par le même lieutenant, réunissaient autrefois cette unité d’instruction si désirable au début et si difficilement réalisable auprès des cavaliers civils abusant de leur liberté de discussion, trop tentés de mettre la charrue avant les boeufs, et souvent victimes des nécessités de l’existence trépidante de nos jours.
Cette « équitation des gens pressés » due au manque de loisirs, ou à des loisirs trop diversifiés, est néfaste à l’éducation de l’homme de cheval et explique en partie les lacunes parfois grossières dans la connaissance et l’usage général du cheval chez de jeunes cavaliers déjà expérimentés dans la monte sur l’obstacle.
L’esprit de contestation qui se manifeste à tort et à travers et dans tous les domaines depuis 1968, ne peut que nuire à l’étude de longue haleine qu’exige l’équitation et nous ne pouvons que souscrire à l’opinion du colonel Podhajsky' lorsqu’il énonce : (pour la suite voir psychologie du cheval, edition 1989 page 24)