http://www.lefigaro.fr/sante/2009/09/21/01004-20090921ARTFIG00325-h1n1-enquete-sur-les-risques-du-vaccin-.php' target='_blank'>ICIL'adjuvant actuellement proposé par les laboratoires, GSK notamment, est très proche de celui déjà utilisé avec le vaccin contre le papillomavirus, prescrit en prévention du cancer du col de l'utérus et avec lequel il n'y a aucun problème.
Issu de l'
http://www.lexpress.fr/actualite/sciences/sante/le-vaccin-contre-la-grippe-a-sera-t-il-sur_788408.html' target='_blank'>Express (Mel va lire ils parlent de ce que tu as posé comme question avant)
GSK, Sinovac et Novartis testent des solutions avec adjuvants. De leur côté, Sanofi, Baxter et CSL expérimentent sans adjuvants. Pour l'instant, les résultats restent flous et les laboratoires n'hésitent pas à changer d'avis (cf alinéa 1, où Sanofi commercialisera finalement deux vaccins, l'un avec adjuvant, l'autre sans).
À la revue médicale Prescrire, on estime que "cette attente autour du vaccin est normale, mais que celui-ci sera efficace au final". Contacté par Le Post, un journaliste pense "qu'il verrait mal le gouvernement sortir un vaccin à plusieurs millions d'exemplaires si celui-ci n'est pas prêt à 100%." Il précise "que maintenant, les tests cliniques sont plus fiables qu'avant et qu'il n'y a pas lieu de s'inquiéter plus que ça."
Article
http://www.lepost.fr/article/2009/09/21/1706162_vaccin-contre-la-grippe-a-des-adjuvants-embarassants.html' target='_blank'>ICI ou ils parlent notamment de cette histoire de squalène.
Au sujet du thiomersal (autre adjuvant)
Autre différence possible, la présence dans les vaccins pandémiques de conservateurs comme le thiomersal. Le recours à ce composé qui diminue le risque de contamination microbienne est justifié par le conditionnement en multidoses, mais sa composition à base de mercure inquiète les consommateurs. «Dans les années 2000, le thiomersal avait été retiré des vaccins car suspecté d'être à l'origine de troubles comme l'autisme, explique Fabienne Bartoli, de l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé. Depuis, les études épidémiologiques ont montré que cette maladie continuait à progresser, ce qui est indirectement rassurant.» Selon elle, il est donc licite d'en utiliser, la balance entre ses bénéfices (certains pour éviter les contaminations bactériennes) et sa toxicité (non prouvée) restant positive.
L'article donc c'est tiré provient du figaro, très intéressant