Très bon post de Morph. 
Merci...
Le sujet est en effet délicat... j'avoue que dans les précédentes discussions auxquelles j'ai participé, je n'ai pas toujours gardé mon sang-froid... mais je suis certain que tout le monde va désormais faire un petit effort pour ne pas déraper
quand on focalise dés le titre sur les "mauvaises choses" d'UNE pratique équestre, on est déjà dans l'inculpation.
oui, tu as raison, le titre n'est pas bon... il aurait bien besoin d'être changé...
mais malheureusement je ne peux pas corriger mes propres messages.
(est-il possible qu'on me permette de faire ce genre de chose ? est-ce qu'il faut là aussi obtenir le statut "Saboteurnaute" ??)
Il veut évoquer les limites à ne pas dépasser, comment les reconnaître, où se situent-elles ? Comment les évaluer ? A quel moment reconnaissons-nous la notion de violence ? etc. (Enfin il me semble.)
oui.
La limite est difficile à cerner... et l'on a parfois besoin d'un regard extérieur pour se rendre compte des choses.
La réponse de
http://epona.tv/uk/news/show/browse/1/artikel/nico-hoermann-not-so-nice' target='_blank'>Nico Hörmann, un reiner allemand qui participait au fameux championnat de la FEI :
"
Quand j'ai vu la vidéo, j'ai pu voir que parfois que je ne suis pas loin de la limite et en effet ça n'a pas l'air très gentil.
La prochaine fois je dois peut-être en faire un petit peu moins."
Néanmoins : "
Mais pour moi, agressif, c'est autre chose. Agressif, c'est quand vous abusez du cheval."
Bref, on tourne un peu en rond !
Les limites doivent être visible sans aucune possibilité de doute.
Oui, c'est effectivement le cas pour la
NRHA qui recherche une
preuve claire de sang frais (
clear evidence of fresh blood !)... cette manière de procéder à l'avantage d'être claire et nette, sans discussion possible... mais elle a aussi le désavantage de considérer toute petite blessure comme un abus
indépendamment de la façon dont le préjudice a été causé ("
regardless of how the injury was caused." disent les règles) !!
La question est aussi de savoir si cette manière d'aborder les choses est suffisante pour débusquer
tous les abus possibles ? N'y a-t-il pas une infinité de manière d'abuser de son cheval sans le blesser jusqu'au sang ??
D'autres associations - comme par exemple la
FEI dont nous parlions précédemment - ont une définition plus large qui permet d'englober aussi bien des abus physiques que des acharnements "psychologiques"... le problème c'est que les choses peuvent très vite devenir subjectives...