Le cas de Vol est un peu particulier.
Je rejoins BH dans le coup de l'attitude.
Colomba est une personne très énergique, parfois anxieuse. Elle a également un caractère très affirmé et confiance en elle.
Vol est également un émotif. Du coup, quand ils sont tous les 2 en mode "energie +++" forcément, ça monte dans les tours car un ne compense pas l'autre.
Ce n'est pas une question de compétence, c'est aussi une question de couple, qui peut être compensée par certaines techniques en PNH, c'est un fait.
BH ou Ludo sont des personnes très posées, avec beaucoup de self control et de patience. De plus, dans ce cas précis, ils connaissent les gestes.
Sur que pour Vol, plus facile de redescendre en pression auprès de personnes calmes et tranquilles.
Balladin, lui, est plus un "froid" dans son mental, avec du caractère, certes, mais qui n'est pas un émotif. Il sait dire non quand il n'aime pas, mais ne saute pas en l'air pour un oui ou pour un non. Du coup, ça fonctionne avec Colomba, parce qu'ils se compensent mutuellement.
Après, c'est le cercle vicieux pour Vol, et le cercle vertueux pour Baladin.
Dans le cas de Guylène et Sillage, je ne les connais ni l'un, ni l'autre, mais à travers la lecture du post de Sillage depuis le début, je pense également qu'il y a un soucis d'attitude général et, peut être, de vision du cheval (dans le sens "interprétation" ou anthropomorphisme).
Guylène a du mal à lire son cheval, et peut être aussi à "penser" cheval.
Elle pense que son cheval lui en voudra pour des trucs, ou pire encore qu'il ne l'aimera plus si elle est trop sévère ou autre.
Je pense qu'elle a du mal à se situer dans tout ça, et que Guylène et Sillage ne savent pas communiquer : Guylène ne lit pas bien Sillage, et ne sait peut être pas encore bien "parler" à Sillage avec son langage corporel, ni quels sont les besoins de Sillage en rapport à sa Horsenality (on y revient).
Du coup, les signaux qu'elle envoie ne sont pas clairs. Elle est pleine de bonnes intentions, mais Sillage ne comprend pas ce langage.
Je peux me tromper mais c'est ce que je pense.
Du coup, comme elle souhaite une relation apaisée et tendre, elle oublie que cela n'est possible que si l'on est juste, c'est à dire que chacun restse à sa place, et que donc, dans un sens comme dans l'autre, il faut ce qu'il faut.
j'ai pas mal parlé de fermeté, mais ce n'est pas forcément juste ça.
Là j'en ai parlé car je sais que Guylene a peur que SIllage ne l'aime plus et que donc, elle ne va pas forcément au bout quand il faut s'imposer.
Pourtant, quand un cheval est à sa place, dominé, pour lui, c'est plus confortable. Il peut se reposer mentalement car il est sous la protection du leader. Et c'est là qu'il devient plus calin, il est en confiance, cherche à avoir de la protection.
L'idéal pour moi est biensur le cheval partenaire, pas un cheval maté ou éteint. Chacun son job. Mais en définitive, le leader, c'est moi, par contre, mon cheval a le droit de s'exprimer, dans les limites de sa place.