Equitation - Cheval > LE BON, LA BRUTE ET LE TRUAND
La Rencontre Avec Votre Dadou
CABOTIN:
Comment avez-vous rencontré et acheté votre cheval ? (par un club, par une connaissance, par une annonce, par hasard, en demandant à votre maréchal ou à votre véto..., chez un marchand..) ?
tulgitam:
Amandine et Tulipe m'avait été signalé par des amis, l'une et l'autre été maltraité et déperéssaient au fond d'un pré, Gitane je l'ai racheté à un club.
Dernièrement j'ai trouvé Sagrado sur le bon coin posté par une écurie qui replace ses réformés.
pamlico:
Mon premier cheval ,un barbe arabe,trouvé par petite annonce,
que j'ai été voir avec un professionnel,que j'ai essayé mais ingérable pour une débutante et échangé au bout d'un an chez un marchand contre un espagnol que j'ai gardé 21ans et qui après un début chaotique m'a donné beaucoup de bonheur.Il a été endormi à la suite d'une fracture de la hanche.Un magnifique x arabe qui a été un maître d'école pour moi et qui m'a été conseillé par mon maréchal.Il m'a quitté le 1er décembre 2011 à l'age de 34 ans.Il y a aussi un Appaloosa trouvé par un ami,super cheval polyvalent,devenu aveugle,à la retraite depuis 5ans que j'ai trouvé mort un triste matin du 30 mars 2013.J'ai un autre Appaloosa acheté par correspondance,à l'étranger,il y a 16 ans,très proche de moi.Un quarter acheté également par correspondance,avec moins de chance,puisque naviculaire,mais que j'ai gardé car une vraie crème qui mérite une retraite heureuse.Une petite jument,vraie bronco,sauvée de l'abattoir il y a 5 ans,elle avait moins d'un an et mon petit dernier,un Irish cob acheté sur internet il y a quelques mois.Je pense que l'achat d'un cheval est toujours un coup de poker.
:cheval:
pyrene:
Les enfants qui venaient dans mon mini club d'équitation en âne souhaitaient pouvoir passer au cheval.
J'ai donc effeuillé vaguement le vilain petit canard, sans trop chercher vraiment, je n'étais pas certaine de continuer mon activité et ne souhaitait pas forcément agrandir mon troupeau, mais bon, on ne sait jamais.
Je regardais surtout les chevaux déjà au boulot, bons pépères sur lesquels hisser des mômes s'étant fait peur à cheval et ayant repris confiance sur mes ânes et quelques adultes que je remettais à cheval sur mon vieux trotzouille.
Certainement pas un poulain, j'avais déjà donné et j'avais besoin d'un truc au boulot de suite.
Bon ben chuis tombée sur une photo... d'un poulain tachu qui ressemblait à pas grand chose, là haut dans la montagne.
Un jour de pluie et d'ennui, j'ai pris mon môme sous le bras et on est parti se promener, un peu au hasard, en direction du type.
On a regardé, de loin, ce poulain pottok, issu d'une mère complètement sauvage.
Le type nous a raconté que barf, les poulains, c'est l'argent de poche de son fils qui l'aide avec les vaches l'été et que s'ils ne partent pas avant novembre, de toutes manières, pas d'embrouille, il appelle le camion, hein, on va pas non plus leur donner à manger l'hiver.
Il avait trois poulains.
Je suis repartie avec Astazou (bon, non, en vrai, j'ai pris le temps de la réflexion - agrandissement de troupeau, débourrage en perspective, etc-, mon père m'a dit qu'il me l'offrait, l'Amoureux a dit qu'il n'était pas contre, mon gamin a dit beuh - en même temps, à quelques mois, on ne dit pas grand chose de plus, et je suis donc retournée le chercher, il avait sept mois), le coeur un peu serré pour les autres (à qui j'ai essayé de trouver des proprios mais pas réussi).
Et c'est le plus chouette poney que j'ai jamais rencontré :blush: .
CABOTIN:
De belles histoires... et des moments de bonheur...
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