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Equitation - Cheval => LE BON, LA BRUTE ET LE TRUAND => Discussion démarrée par: Pao le novembre 08, 2007, 03:28:21 pm
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Je me posais juste une question : où est-ce que vous avez appris à monter à cheval ?
Ca serait sympa de préciser votre discipline de prédilection aussi :lol:
Pour ma part, pas original du tout : dans un club. J'y suis encore aujourd'hui mais je pense d'ici 2 à 3 ans acheter mon cheval. Et vous ?
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Parcours atypique que le mien....
J'ai débuté toute seule à 7/8 ans à monter les chevaux dans les parcs....puis mes parents m'ont inscrire dans un centre équestre qui ne faisait que de la balade mais plutôt musclée...j'avais 9 ans.
A 11 ans, j'ai appris l'équitation classique et j'ai passé mon 1er dégré.
A 13 je préparais le second mais j'ai laissé tombé les cours lorsqu'une amie de ma mère s'est acheté un poulain pour le sauver de la boucherie; je l'ai débourré avec l'aide de son mari qui n'y connaissait que dalle...
J'ai monté ensuite ce cheval (Impérial mais pour moi c'était Bébé) chaque mercredi et week-end en promenade, bien souvent seule...je sais pas bien mais à l'époque...le cheval était zen comme zen, on se connaissait trop bien lui et moi, il passait partout, n'avait peur de rien.
A 15/16 ans j'ai fait une pause...j'avais d'autres centres d'intérêts...
Entre-temps, le cheval s'est blessé et a dû être anesthésié...bien entendu, je ne l'ai appris que beaucoup, beaucoup plus tard. On m'avait dit que je cheval étaità Vittel où il faisait des concours de présentation en main...
Je montais toujours mais en dillétante....je connaissais un loueur d'équidé et il me laissais un de ses chevaux quand l'envie meprenait d'aller faire une balade.
A 24 ans, j'ai repris l'équitation sérieusement dans une SHN (Société Hippique nationale, l'armée quoi !) où j'ai repréparé mon 2nd degré (beaucoup, beaucoup d'obtsacles...).
A 25, je quittais encore cette équitation décidément trop académique pour moi (sans toujours passer le 2nd degré) pour Grosbois, le plus grand centre d'entraînement des Trotteurs en France, à côté de Paris. je nageais dans le bonheur, montais à cheval tous les jours, vivant dans une cour d'écurie où je partageais la chamre d'un premier garçon d'écurie beau comme un Dieu...mon permier Amour qui duré 5 ans.....
Chez les Trotteurs, je sortais les chevaux montés, à cause de mon gabarit, et notemment les jeunes de 18 mois. J'ai énormément appris sur les chevaux dans ce milieu mais je me suis beaaucoup endurcie....le maquignon passait souvent à l'écurie, et deux jours après, je devais dire un adieu définitif à mes poulinous....
Ensuite, carrière professionnelle, mariage, enfants....lorsque que mon dernier fils a eu 3 ans, j'ai repris les cours pour re-repréparé mon deuxième degré...qui ne s'appelait plus comme ça mais galop 7.
Comme je me fichais pas mal des diplômes équestre, je montais en reprise en prépé galop 7: beaucoup d'obstacles et surtout beaucoup de cross..et un jour bim, bam, boum, la grosse chute avec tibia-péronné cassés...
J'ai alors décidé de stoppé l'équitation: trop dangereux pour une mère de famille.
Puis, lors d'un voyage aux US, et plus particulièrement un séjour dans un ranch, le virus est revenu de plus belle !
En rentrant, isncription sur le Sab, reprise de cours en EW, achat de mon 1er cheval...un Américain bien entendu !
Aujourd'hui, je ne fais plus que de la promenade....j'aimerais essayer la randonnée, non, plutôt le convoyage de troupeaux, une transhumance, un rêve....
Désolée pour le roman, c'est parti tout seul :blush:
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Pas grave pour le roman, c'était super intéressant ! Puis j'avoue que l'anecdote avec le garçon d'écurie demi-dieu ça fait rêver ! :clapclap: En fait c'est marrant j'aurais jamais pensé que tu avais un parcours de cette ampleur derrière toi ! Bravo :oky:
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En fait c'est marrant j'aurais jamais pensé que tu avais un parcours de cette ampleur derrière toi ! Bravo :oky:
OH ?
Tu me prenais pour une bille ? :rire:
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La première fois que je suis montée sur un quadrupède, c'était en colonie de vacances. On était restée 3 semaines à faire du poney, j'avais alors 6 ans.
De retour à la maison, ma soeur jumelle et moi on ne voyait que par ça, mais les parents n'étaient pas trop d'accord ...
Et puis à 9 ans, on est parties une semaine en classe verte avec l'école dans un centre equestre, à faire 3 heures de monte par jour. On nourissait les poneys et on s'en occupait, c'était super ! On à même eu notre "poney d'or" :lol:
Ensuite 2 ans après on a refait une colo d'équitation mais cette fois à cheval ! On a passé 3 semaines avec des chevaux supers, on faisait aussi de l'attelage et des jeux.
Ca a ravivé l'envie de poursuivre donc nos parents nous ont inscrit dans un poney-club près de chez nous. On y est resté un bon moment, on y a aussi travaillé l'été comme palfrenières en échange d'heures de monte. On vivait 24 h / 24 au rythme des chevaux, on se levait tôt pour les nourrir mais c'était vraiment super ! On encadrait aussi les enfants en balade, et les groupes du centre aéré voisin pour leur faire les cours de théorie et les pony-games. On avait aussi organisé un CSO inter-clubs.
A cette époque on ne vivait que pour les chevaux, ce qui nous valu l'exclusion de la bande de "copines" du collège, trouvant qu'on était pas assez à la mode pour elles car on n'allait pas au ciné le samedi, ou faire du shopping ...
Ensuite pendant le lycée, j'ai pas pu continuer faute de poursuivre mes études loin de la maison. J'ai repris au moment de finir mon école d'infirmière, dans une écurie western sur des chevaux de couleurs (crèmes et palomino). Puis j'ai déménagé à 900 km de chez moi.
Un an après le déménagement, j'achetais Denver, mon premier cheval, arabe X apaloo :lol:
Voilou :)
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J'ai tjs réclamé un poney pour Nowel, depuis toute petite...en me contentant des poneys de fêtes foraines.
Mes parents ont retardé l'inscription au poney-club jusqu'à mes 10 ans !
Dans un club de balade "à la dure" : 1er galop en balade en main, 1ere séance à cru (avec du galop) à mon 4e jour d'initiation, 1er saut qq jours plus tard...
A partir de là, j'ai voulu en faire mon métier. Mais mon père s'y opposait : "ma fille, tu feras des études supérieures".
J'ai donc choisi des études en Droit...tout en continuant à monter.
Je suis restée 10 ans dans mon club de balade où j'ai débuté : la carrière ne m'intéressait que pour sauter ou faire des jeux.
Parallèlement, j'ai aussi monté dans des "usines à champions"...mais ce n'est qu'en 2002 que j'ai vraiment appris à apprécier le dressage.
Je me suis aussi cassée la jambe cette année là (6 mois d'arrêt).
Après avoir fini mes études de Droit, en 2003, j'ai longuement galèré à chercher du travail...pour finalement me rendre compte que je n'étais pas faite pour bosser dans un bureau.
Pendant ce temps, je montais à droite à gauche, notemment chez un éleveur de chevaux de course.
Comme mes parents avaient divorcé et que j'étais en froid avec mon père, que je ne me sentais pas épanouie...j'ai décidé de me réorienter vers un métier avec les chevaux.
Après une formation, je suis maintenant animatrice "poney" et "randonnée équestre" (d'ailleur je cherche du taf, surtout dans l'ouest de la France : Bretagne, Pays de la Loire...).
J'ai acheté mon poney cette année, en avril : un entier (moi qui voulais une jument !), gris (moi qui ne voulais surtout pas de cette robe trop salissante...) que j'ai débourré chez mon employeur de l'hiver dernier.
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Pour moi c'est tres simple :
Depuis toute petite j'adore les chevaux mais sachant que c'etait en dehors des petits moyens de mes parents je n'ai meme pas oser leur en parler...
Puis ma meilleure amie qui monte aussi a cheval (et qui a le sien) m'a bousté! Alors j'en ai parler a mes parents et comme un miracle ils ont accepté!!! (je sais que a des moment ils se saignaient pour me payer mes cours)
Maintenant ca fais un an et deemi que je monte et j'ai mon galop3 (13ans)
Mes debuts se font faits en club et quelque fois avec ma cousine qui a un superbe arabe!!!
:coeur:
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Pour moi c'est tres simple :
Depuis toute petite j'adore les chevaux mais sachant que c'etait en dehors des petits moyens de mes parents je n'ai meme pas oser leur en parler...
Puis ma meilleure amie qui monte aussi a cheval (et qui a le sien) m'a bousté! Alors j'en ai parler a mes parents et comme un miracle ils ont accepté!!! (je sais que a des moment ils se saignaient pour me payer mes cours)
C'est tout à ton honneur de reconnaître ce que font tes parents pour toi....moi aussi, quand j'ai commencé à monter, ils ont fait des sacrifices pour moi...mais je ne l'ai reconnu qu'à...25 ans :blush:
Tu es précoce Kelhorse ! :basket:
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En fait c'est marrant j'aurais jamais pensé que tu avais un parcours de cette ampleur derrière toi ! Bravo :oky:
OH ?
Tu me prenais pour une bille ? :rire:
Lol j'étais sûre que ça allait pas passer la phrase comme ça ! Non je te prenais pas pour une bille, je savais juste rien à ton sujet, juste que tu avais des supers installations chez toi ! :rire:
merci pour vos témoignages les filles :blush: Moi aussi je fais partie de la catégorie "je veux un poney pour noël", d'ailleurs hier quand je faisais à ma mère "bon, et cette année je vais l'avoir, mon poney ?" :lol:
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Ouaip !
Je dois reconnaître que ton idée de post n'est pas mal du tout....c'est bien de connaître le parcours des Saboteurnautes :): .
Et c'est super ce Sab...on se lie d'amitié avec des gens que l'on ne verra peut-être jamais (hein Galg, je vois que t'es là...).
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Super intéressants vos parcours les filles ! :):
Ben moi je suis tombée dedans un peu malgrè moi au départ ! Je n'ai jamais été de ces petites filles qui rêvent de galoper sur un cheval sauvage ! :D J'ai simplement un père qui LUI en avait rêvé toute son enfance ! :blush: Alors un jour comme on était dans le Gard, il est parti "faire le gardian" avec un vieux voisin et là il a été définitivement foutu ! Il a appris à monter en menant les troupeaux et il parait que c'est très motivant pour rester en selle 50 juments au galop juste derrière même pour son premier galop ! :D
Bref quelques mois plus tard Malatier, étalon camargue, est arrivé à la maison et mon père a décidé qu'on devait tous savoir monter, j'avais 9 ans ! Ca tombait bien un centre équestre très orienté extérieur était pas loin de chez nous. 2 mois de cours plus tard notre deuxième camargue arrivait, Bella, avec qui j'ai fait mes débuts de cavalière d'extérieur au départ avec mon père et puis rapidement toute seule aussi ! Quand le poulain de Bella a eu 3 ans il a été débourré et est devenu ma monture, Shangar m'a accompagnée des années, on a fait de tout ensemble ! 6 ans plus tard, mes parents se séparaient et je perais mon beau Shangar ! Ensuite j'ai monté des chevaux mais de façon occasionnelle. Dès que j'ai pu à 24 ans quand même ! :crying: Je me rachète un cheval dans une écurie où je bossais comme palfrenier, puis un autre et puis d'autres .... :blink: je réalise que ça va faire 35 ans que je suis à cheval par monts et par vaux ! :blink: Je vais pas m'en remettre ! :crying: :rire:
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on se lie d'amitié avec des gens que l'on ne verra peut-être jamais (hein Galg, je vois que t'es là...).
Faut faire quelque chose hein !
On peut pas laisser passer ça Arizona ! :huh:
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Tu me prenais pour une bille ? laughing.gif
Ouh la la c'est pas une bille ma potos ! elle tient à cheval ! sissi je vous assurer
Pour mon cas, j'ai commencé tard (33 ans) dans le but de partager des moments complices avec ma fille (8 ans à l'époque) qui est une passionnée depuis son plus jeune âge. On lui a offert son poon pour ses 10 ans.
Comme je suis une élève disciplinée et surtout que j'étais pétée de trouille, j'ai pris des cours et des cours et des cours en manège en club, pendant 3 ans avec toujours la même appréhension. Discipline : équitation western, trail et reining. J'ai fait pas mal de stages pour essayer de progresser rapidement, mais la peur était vraiment un frein à ma progression.
Ensuite, j'ai acheté mon cheval Player alors qu'il avait 2 ans et qu'il était vert de vert. Moche, il ressemblait vraiment à rien, mais je ne voulais pas un cheval de poster, je voulais un cheval, équilibré, froid avec du jus. Et il est tout à fait comme ça.
Une fois que j'ai pu le monter, je n'ai plus jamais eu peur,j'ai pris confianc et là j'ai commencé à me lacher un peu et tenter d'autres disciplines, à commencer par les pony games (toujours avec ma fille) pour rigoler (et on rigole bien !!!).
Puis l'été 2005, son débourrage juste terminé, je suis partie 2 jours avec lui, totalement seuls, en randonnée ma carte IGN autour du cou, et un point de chute pour dormir. Très gros challenge pour nous deux !!! :-D je crois qu'on s'est mutuellement encouragé !
Au printemps dernier, nous l'avons mis au TREC et nous sommes vite aperçu que, des 3 épreuves, 'il adorait le PTV. C'est son truc ! et le mien aussi d'ailleurs ! il enchaîne les difficultés les oreilles pointées vers l'avant, je le sens frétiller et s'amuser comme un petit fou. Il a encore bcp de travail à fournir pour être plus constant et puis il a été débourré western donc pour toute ce qui est saut ... c'est pas le pied au début. Mais maintenant il sait.
Depuis, il est à la maison (enfin, ils sont avec Nonstop) fait un maximum de ballade et bosse un peu sa musculature et sa souplesse. Même si parfois c'est un peu chaud au niveau logistique et organisation, c'est un pur bonheur que j'espère infini.
Voilà pour notre petite histoire, que j'espère pas trop longue ... :blink:
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C'est courageux Same Player d'avoir persévéré malgré la peur, bravo :oky:
Moi j'ai commencé vers 8/10 ans dans un centre de balade, avec ma soeur, de manière plus ou moins régulière selon les périodes, quand on (ma maman surtout :lol: ) avait le temps. C'est ma maman qui m'a donné le virus, elle adorait çà et était une excellente cavalière :):
Je n'ai pris quasiment aucun cours à l'époque : juste le minimum syndical avancer/tourner/s'arrêter avant de partir la première fois :lol: et un deuxième lorsque le club a fermé qu'on en a cherché un autre, le mono a tenu à nous voir une fois en carrière avant de partir à l'extérieur.
De toute façon çà n'était pas ce qui m'interssait à l'époque, les balades me suffisaient amplement.
J'ai arrêté progressivement au lycée faute de temps, et je suis restée sans monter pendant environ 6 ans.
Et puis il y a 3 ans j'ai décidé de m'y remettre, tout naturellement je me suis tournée vers un club de balade que j'avais repéré. Même pas peur, après 6 ans sans monter, j'ai commencé par une balade de 2 heures, galop dans les champs et tout et tout. C'est comme si je n'avais jamais arrêté, je me suis tout de suite sentie à l'aise (sauf pour les courbatures :biggl: ).
Je suis montée comme çà régulièrement deux étés de suite (grâce aux pourboires du job d'été). Le reste de l'année, retournant en ville avec pas beaucoup de sous, c'était hors de question.
Le premier été j'ai pris, par hasard, un vrai cours dans le club. A partir de ce moment là j'ai commencé à avoir envie d'apprendre vraiment à monter, et quand j'ai enfin trouvé un vrai boulot, je me suis mise à la recherche d'un petit club tranquille à proximité de Bordeaux.
J'étais terriblement stréssée pour mon premiers cours : qu'est-ce qu'on va me demander, à quel point est-ce que je suis nulle, etc....
En fait çà c'est vraiment très bien passé, j'ai même sauté mon premier obstacle :lol:
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bon ben comme beaucoups j ai pleure pour monter a cheval quand j etait petite ( les chevaux pas les poneys .....) ma mere a craquee...la perseverence ou harcelement ça paye :D
j ai ete dans un club normal et comme c etait naze je suis allee a la legion etrangere pour apprendre a monter ....la j avait aucuns diplomes et je me suis trouvee direct avec les eperons d argent car pas de place ailleurs...je devait pas etre mauvaise ..je suis restee avec eux .
ensuite ben comme ça suffit plus ça a ete " je veut un cheval " .....la aussi un poil d acharnement pour que maman craque :D
depuis ce temps la je n ai plus prit de cours et je me suis mit a l equitation western avec ma jument . je n ai pas prit de cours aussi en western j ai regardee les autres faires et j ai dressee ma jument pour le reining...
je fait condensee l histoire sinon c est 4 fois plus long :D
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C'est tout à ton honneur de reconnaître ce que font tes parents pour toi....moi aussi, quand j'ai commencé à monter, ils ont fait des sacrifices pour moi...mais je ne l'ai reconnu qu'à...25 ans :blush:
Tu es précoce Kelhorse ! :basket:
Merci beaucoup Arizona car apart mes parents personne ne pense pareil que toi. Je n'ai jamais ete pouri gatée et je pense que c'est quend je suis devenue plus grande et que j'ai vu mes parents en difficulté, que j'ai compris ce que je devais faire. Tu es de quel coin en lorraine moi a Nancy pres du centre!! :coeur:
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moi j'étais à fond sur les chevaux depuis toute petite. Il parait meme que le soir quand j'allais prendre mon bain, la baignoire était remplie de "petits poneys", je n'était pas trop poupée ect... par contre j'avais le cheval de Barbie ^^
A 9 ans, j'ai commencé à monter en club, pour suivre une amie à moi. Mes parents aussi ont du se sacrifier financierement, je ne l'ai su que plus tard... Vers mes 12 ans, j'ai fait une chute assez spectaculaire qui m'a valu plusieurs mois de kiné entre autre, et une peur maladive des chevaux (qui n'est d'ailleurs pas totalement guérie...).
Mon pere en avait marre de me payer " des cours de manege" et aurait préféré me faire monter des chevaux plus calme pour faire de l'exterieur... ce fut chose faite quelques mois plus tard... Je suis allée monter dans une ferme equestre (pendant 4 ans) où les chevaux étaient (et sont toujours) au top niveau, on faisait balade et rando, j'ai suivi durant 3 hivers de suite les stages d'équitation que suivaient les éleves de la fac mdr, et je n'avais qu'une quinzaine d'années... Puis lors d'un séjour chez mon frere, il m'a offert mon petit Echo, j'avais alors 15 ans, et lui 1 an. C'est devenu le petit chouchou de la maison (d'ou son caractere actuel sans doute...) et il a du attendre que j'ai suffisamment d'argent pour lui payer un bon débourrage (car mes parents étaient un peu pendus financierement :) ) soit pour ses 5 ans...
Je connaissais de nom le fameux Mr D du top hill ranch, mais mes parents étaient un peu septiques car pensaient que j'allais dépenser tout mon argent "alors que d'autres débourrent leurs chevaux seuls..." ( mes parents n'y connaissent absolument rien en équitation, je précise...)
C'était sans compter ma perséverence :) un apres midi, j'ai vaguenaudé vers le thr et me suis extasiée devant ce "monument"... Le soir meme, j'y emmenais mon pere, qui fan des western de John Wayne, fut immédiatement conquit...
Apres un débourrage quelque peu chaotique et une entorse à l'anterieur droit, Echo a fini par etre opérationnel, et moi j'ai pu apprendre quelques bases de l'équitation western pour me débrouiller avec ce cheval...
Voilà, c'est a peu pres tout...
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parcours plutot classique que le mien
j'ai toujours adoré les chevaux, ma mere dit toujours que mon premier mot prononcé a eté cheval
toutefois mes parents n'ont jamais compris cette attirance
et ne voulait pas m'inscrire au poney
j'ai eu la chance de croiser à 13 ans un prof de sport au college qui adorait l'équitation et qui par le biais du collége proposait des cours d'equitation au centre equestre du secteur , cours payés par moitié par l'association sportive du college
mes parents m'ont offert mes 10 premieres leçon ainsi qu'à mon frere, le deal etait le suivant "on paie les 10 premieres , ensuite si tu veux continuer tu te débrouilles"
voila comment à 14 ans j'ai mis toutes mes écononomies dans mes cours en club, je me souviens que j'y allais à vélo (club situé à 10 km de la maison ) quelque soit le temps
à 16 ans et mon etrier d'argent en poche , je me suis occupée de deux chevaux de proprio, je dirai que c'est grace à cela que j'ai compris la véritable approche du cheval, car comme il avait les chevaux chez lui il fallait tout faire, nourriture, boxes...
puis j'ai trouvé d'autres chevaux de proprio à monter en meme temps ... les uns le mercredi et les autres le samedi , de fait j'ai quitté le club juste avant le passage de mon eperon d'argent (ne me demandez pas à quel niveau cela correspond auj....)
ensuite j'ai rencontré zom qui avait Belle à l'époque, jeune jument de deux ans, à laquelle j'ai tout appris
de fait zom et belle etaient mon centre d interet , et j'ai arreté de monter les chevaux de proprio ....
auj 25 ans plus tard nous avons toujours Belle, et trois autres chevaux en plus....
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J'ai découvert l'équitation adolescente avec le collège et j'en ai fais 2 ans 1/2 la peur au ventre (avec un moniteur qui hurlait et des chevaux complètement imprévisibles), ce qui fait que j'ai arrêté car j'étais omplètement traumatisée par mes chutes innombrabres :wacko: J'ai passé mon étrier de bronze (équivalent galop 2) et j'ai arrêté le jour du parcours d'entraînement de saut précédant le passage de mon éperon de bronze (équivalent G4), j'ai fait 3 chutes consécutives ce jour-là ... :wacko:
Il y a environ 10 ans, j'ai retenté l'expérience dans un club très bien mais trop branché CSO, j'ai "tenu" 8 mois mais j'ai arrêté car on ne faisait jamais de ballades et tous les cours étaient les mêmes et se finissaient inlassablement par du saut en reprise. En prime, comme j'avais une assiette pas terrible (c'est mon point faible car je suis quelqu'un de naturellement contractée) et une forme physique assez médiocre, j'avais du mal à tenir une heure car on galopais quasiment la moitié du cours. J'ai de nouveau arrêté (pour d'autres raisons, aussi :ange: ).
Je me retrouvais donc à 25 ans, triste d'être une "mauvaise" cavalière, mais convaincue que c'était ainsi et que ce serait le regret de ma vie ...
C'était sans compter sur une rencontre ... Ludovic ... pianiste de ma chorale et cavalier depuis quelques années (et accessoirement complètement non-voyant).
Nous fîmes connaissance :ange: et Ludo n'arrêtant pas de m'encourager à venir le voir monter (pour que j'aille dans son club :chris: ), j'ai fini par me laisser convaincre de refaire un dernier essai. Lui était confiant car il me disait que la monitrice était très à l'écoute des cavaliers et que les chevaux (principalement des doubles poneys) étaient hyper bien dressés.
ET C'ETAIT VRAI :clapclap: !
Voilà, tout ça c'était il y a plus de 3 ans maintenant, j'ai passé mon galop 5 de dressage à noël dernier et je vais passer mon G4 d'obstacle sous peu (et oui, l'obstacle à l'âge adulte, c'est plus dur :huh: !).
Ma monitrice a quelques défauts (elle ne prend pas assez de temps pour expliquer) mais elle a d'énormes qualités : elle sait parfaitement adapter la monture au cavalier, et jamais je ne me suis faite vraiment peur avec elle, pourtant j'avais la phobie du saut.
Autre points forts de ce club : la cavalerie ! Les 2 moniteurs sont dresseurs et aussi naisseurs, et nous commençons à voir la 2ème génération de poneys. Le respect des chevaux et le souci n°1 des moniteurs et mêmes les débutants peuvent monter des chevaux ayant fait les Championnats de France AM4, c'est ça qui est hors du commun ...
Bref, je m'éclate comme une gamine ... a 36 ans :lol:
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Pour ma part, j'ai toujours voulu monter à cheval. A 11 ans, nous habitions à la campagne et mes parents m'ont inscrit au poney club. J'étais si heureuse!!! Mais un an plus tard, nous avons quitté l'est de la france pour nous installer à Lyon, et la, terminé, c'était trop loin, trop cher...
Chaque été, mes parents m'offraient le stage d'équitation organisé par la mairie. Rien que d'y penser, j'en ai les larmes aux yeux, car j'attendais toute l'année cette semaine dorée, et je n'en manquais pas une miette...Mais bon, ils ne voulaient toujours pas que je prenne des cours, par ailleurs, ils étaient totalement paniqués par les chevaux et les accidents equestres (ils sont médecins).
Puis à 16 ans, j'ai fait une grave dépression. Plus personne ne parvenait à me sortir de ma torpeur, de mon malêtre ni... de ma chambre!
Un jour mes parents m'ont trainée de force sans me dire ou nous allions. Ils m'avaient inscrite à un centre équestre (ça y est, je commence à pleurer.... trop de souvenirs) et je me rappelle encore de ma premiere reprise la bas, avec un magnique SF noir, Norman... J'ai retrouvé gout à la vie grâce à cela. IL n'y avait que ça dans ma vie, rien d'autre ne m'a interessée pendant un long moment. Je trouvais mon bonheur autour des chevaux, à les regarder, à les brosser. L'été, je travaillais au centre équestre comme parlfrenier / aide pour les centre aérés contre des heures de monte. J'ai beaucoup appris pendant cette période. Puis, en terminale, une des mes meilleures amies avait des chevaux, et elle m'emmenait régulierement en extérieur avec un trotteur réformé complement givré, et avec un vieil entier SF de 24 ans, qui aété ma premeire DP. J'avais mon galop 4 à l'éopque.
Puis j'ai changé de club et je suis retournée sur une équitation à poney. J'ai attaqué en poney games (petit, tout petit niveau, pour s'amuser) et un peu en horseball. Je n'ai jamais aimé sauter.
Je rêvais toujours d'avoir mon cheval! Puis à 24 ans, j'ai pris ma premiere vraie DP sur un cheval de club, je payais moi même la pension, et ça a été une révélation. J'ai ensuite monté mon premier ibérique, un cruzado formidalbe... puis je me suis inscrite sur le sab... et j'ai acheté mon premier cheval, Vega, en décembre 2006 (vous connaissez la suite!). Pendant toutes mes années de club, ce sont mes rencontres avec les proprios qui m'ont toujours fait vibrer. Au dela de l'équitation, c'était vraiment la relation qui me faisait vibrer. Certaines personnes ont révolutionné ma vision de l'équitation et des chevaux, et je ne les remercierai jamais assez... sans le sab, je pense que je serai encore bien étroite d'esprit. Merci particulierement à Magali qui a su m'ouvrir les yeux, me raisonner, me conseiller et me supporter... et qui ne m'a jamais laissée seule face à mon desespoir, quelle que soit la situation, alors qu'elle me connaissait à peine , et qui m'a toujours soutenue, surtout face à mes peurs.
Merci aussi à Mystic2, Ikounet, Galguera et Daenerys entre autre qui m'apportent elles aussi régulierement une aide précieuse ( et qui me supportent des heures au téléphone)
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Comme beaucoup d'entre vous la passion vient depuis toute petite. Malheureusement je n'ai pas eu la chance de pouvoir monter à cheval étant gamine, trop cher pour mes parents. Je viens de Normandie et je m'imaginais à la place de ses cavaliers qui se regaler sur les plages normandes. A l'age de 14 ans j'ai eu la chance de faire une colo de 3 semaines avec 3 h à cheval par jour. Un vrai regal ce fut un moment magique. En rentrant chez moi mes parents n'étaient toujours pas d'accord.
Il y a 2 ans et demi apres un demenagement à la campagne et une ecurie à 3 km de la maison j'ai fini par aller me renseigner et là je me suis sentie revivre, je n'avais plus parler de ma passion depuis tellement d'année personne ne comprenait cette envie de vouloir monter à cheval et d'aimer les regarder. j'ai commencé par 1 cours par sem puis 2 et en Fevrier j'ai fait la connaissance d'Odin et depuis je suis sur un petit nuage en permance. Je realise chaque jour mon reve de gamine, du pur bonheur.
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Comme beaucoup, mes parents n'avaient pas les moyens de me payer des cours d'équitation.
J'aimais beaucoup les chevaux et je devorais tous les livres, magasines, romans qui pouvaient en parler, mais je ne demandais rien à mes parents, si on devait faire des économies sur tous les plans, j'allais pas demander à pratiquer un sport aussi cher. Donc par extension, je n'ai jamais demandé à avoir un poney ou un cheval.
Quand j'ai eu 12 ans, pendant les vacances d'été (que je passais tjrs dans la maison de famille en Bretagne), je suis allé avec ma cousine chez un ami qui élève des trotteurs et ils nous faisait monter à cru, brosser ses chevaux, c'était chouette.
Nous sommes retournées chez lui les étés suivants, brosser les juments et les poulains, et monter les retraités.
Il nous a appris à longer pour que l'une d'entre nous tienne l'autre en longe et voilà, ma cousine ayant qq bases d'équitation, elle m'apprenait qq trucs. Il disait tjrs à mes parents qu'il fallait que je prenne des cours le reste de l'année.
Quand j'ai eu 14 ans, j'étais en Allemagne en échange et ma correspondante avait un grand cheval de dressage, elle m'a proposé de le monter et j'ai fais ma première chute, douloureux, déplaisant. La même année, l'éleveur a vendu ses chevaux réformés, et j'ai découvert chez lui un superbe petit mâle d'un an, qui lui donnait du fil à retordre.
Alors je me suis dis qu'il fallait faire qqc, si je n'était pas capable de rester sur le cheval allemand, comment aurais-je pu rester sur le jeune trotteur une fois adulte? J'ai donc cherché une solution pour monter à cheval l'année.
Un ami de mon père m'a emmené dans une écurie où en échange d'un bon coup de main, je pouvais monter un peu.
Voyant mon assiduité et la transformation de l'écurie privée en centre équestre officiel, mes parents m'ont payé des cours, un par semaine, pendant 2 ans.
Au début, ce n'étaient que des balades, puis pendant un an quelque chose de plus structuré avec obstacle et passage de galops pendant les vacances.
L'aneée de mes 15 ans, des soucis dans ma famille m'ont ammené à aller en Bretagne plus souvent que prévu, et pour me consoler mes parents m'ont proposé d'aller chez l'éleveur même pendant les petites vacances. Du coup j'ai raté les stages de passage de galops mais j'ai eu le temps de faire connaissance avec le poulain.
Au fur et à mesure, ce n'était plus "le" poulain, mais LE cheval. A chaque vacances j'espérais qu'il serait revenu de l'entrainement pour que je puisse le revoir. Il est parti 4 fois, il est revenu 4 fois. J'ai supplié l'éleveur de me le garder. Et il me l'a gardé, et j'en ai bavé avec ce cheval. Ca avait le mérite d'être formateur, et j'ai vraiment eu de la chance de ne pas me blesser malgré les chutes, et surtout, d'avoir toujours les conseils et encouragement de l'éleveur qui me disait de m'accrocher.
Quand j'ai eu 18 ans, j'ai encore eu du bol et j'ai trouvé un job me permettant de faire mes études et d'acheter mon cheval. A partir de là je suis devenue étudiante et je me suis mis à déménager chaque année.
La première année, j'ai eu l'aide d'une fille super (demi-pensionnaire sur mon cheval) qui m'a pas mal aidé à le dresser au début, elle m'a appris les longues rênes et le travail en liberté. C'était dans une écurie orientée exterieur (connue par la moitié du saboteur) donc on faisait pas mal de promenades.
Puis j'ai fais quelques mois en club, on a découvert l'obstacle. Sauf que je n'avais pas tjrs la possibilité d'aller à tous les cours donc le groupe a progressé plus vite que moi et je me suis bien planté (mal rien que d'y penser).
J'ai déménagé et j'ai mis mon cheval en pension chez une autre sorte de cavaliers, et j'ai appris l'éthologie et la méthode parelli. J'y ai fais une sorte de stage remise en confiance à l'obstacle.
8 mois après j'ai re-déménagé. Et depuis (ça fait 6 mois) je prends des cours particuliers chaque semaine, essentiellement dressage, avec une prof d'obstacle (ben voui, elle a dit on saute pas tant qu'on est pas parfait sur le plat^^).
Dans deux mois je re-déménage (dans le grand nord), sans mon cheval cette fois et j'espère continuer l'équitation.
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ouh la c'est vieux ça, la première fois c'etait il ya 30 ans dans un "ranch" et par la suite en club pour se perfectionner et depuis un certain nombre d'année seule ou avec des copains
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Il parait que, très petite, j'ai tanné mes parents pour faire du poney. Résultat, plutôt que de se geler sur le bord de la carrière, ils ont aussi pris des cours.
Du coup, mon père a voulu acheter un cheval.
Comme on était en région parisienne, il a été en pension en club, où leur mono l'a repris en main.
Pis comme il voulait l'avoir à la maison, on a déménagé. Moi j'étais un peu petite pour monter seule sur ce grand dadais fougueux alors je continuais ma difficile vie de cavalière de bac à sable, dans des clubs qui me dégoutaient tous les uns après les autres de l'équitation. A côté, je rêvais d'avoir mon chwal à moi (chez mes parents, la propriété est une chose avec laquelle on ne rigole pas et Roi était LE cheval de mon père...).
Pis pour tenir compagnie au grand dadais, ils ont acheté une pouliche de neuf mois.
Quand est arrivé l'heure du débourrage, les concours CSO avaient fini d'achever ma vocation de cavalière de centre équestre et je me suis lancée à fond avec "ma" jument, galères de débourrage, grosses joies de réussite. J'ai quand même dû "prêter" Grâce à ma maman une fois la miss à peu près montable... Déchirement...
Puis j'ai fini par me résoudre à partir à l'autre bout de la France pour les études, même si je n'étais pas chaude de quitter ma jument alors que ça devenait intéressant (elle devait avoir six ou sept ans).
J'ai continué vaguement à balader quand je rentrais chez mes parents, quelques cours en club pour ne pas trop perdre mes acquis, une formation ATE... et, y a un an, Roi et Grâce ont quitté leur Normandie pour les Pyrénées... chez moi...
Bref, mon parcours est lié à ces deux bourriques, et ils m'apprennent encore tous les jours!
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Pareil que beaucoup : cours de poney dés l'age de 6ans, puis cheval a 12ans j'ai arrété le club et plus jamais remis les pieds.
j'ai eu mon cheval a 15ans, entre temps j'avais donné des coups de mains a des proprios ou des agriculteurs.
J'ai pris des cours de dressages particuliers quand j'ai pu pendant 1ans environ, puis ensuite faute de moyen j'ai arrété.
J'ai beaucoup appris par moi meme en observant, en lisant et en discutant avec des amis.
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Parcours plutôt classique pour moi aussi...
1er contact avec les poneys en petite section de maternelle, à 3 ans et demi j'ai fait connaissance de Mélodie, ponette shetland, lors d'une journée à la ferme où notre instit nous avait emmenés. Le soir je suis rentrée en demandant à Maman quand est-ce que j'aurai mon poney.
De 5 à 7 ans, j'ai eu la chance d'avoir 2 "classes poney" à l'école, et mes parents me payaient une semaine chaque été dans un gros CE de Haute Normandie (non c'est pas Conches) pendant l'été... Mais je n'avais pas le droit de commencer à prendre des cours avant mes 8 ans, c'était comme ça, arbitrairement décidé par papa, je sais pas trop pourquoi... Mais j'étais hyper motivée, et quand j'ai commencé à prendre vraiment des cours, au bout de 3 mois j'étais en "confirmé", je voulais tout le temps galoper même si on montait nos shets à cru!
Passage à cheval à 10 ans, avec un prof complètement con, des chevaux tarés, dans le même club qui s'était dégradé à toute allure.
Au bout d'un an et demi, j'ai changé, je suis retournée dans un poney-club dans lequel je suis restée jusqu'à mon bac (17ans donc). J'en garde un amour invétéré des poneys, même si je suis un peu trop grande en taille pour être bien dessus. J'ai eu la chance, dans ce poney-club, d'avoir un instructeur "vieille école", Pro 1 et ancien international de CSO, qui a été champion de France... c'était le mari de la prof, mais il donnait des cours aux "grands" du poney-club. On était 5 ou 6 à avoir droit de prendre des cours avec lui. Il m'a fait monter plusieurs fois des chevaux de Grand Prix, m'a emmenée dans plusieurs gros concours où je groomais ses chevaux d'abord, et puis ceux de sa fille quand elle a pris le relai. D'ailleurs, à 16 ans, elle est meilleure junior de France en se classant 12e en indiv. aux Championnats d'Europe, et médaille de bronze par équipe. Mais donc, quand sa ptite a repris le flambeau, DF a arrêté la compèt' et de donner des cours pour se consacrer à la gestion de l'écurie de sa fille (c'est beau d'être privilégiée et chouchoutée comme ça...), donc j'ai changé d'écurie en même temps que de ville, puisque d'Evreux je suis partie à Caen une fois mon bac en poche.
A Caen, j'ai monté 1 an dans un centre sympa, mais sans plus. En fin d'année, à Evreux (où je rentrais tous les weekends), j'ai rencontré une nana, Nath, qui donnait des cours dans un petit CE à 20 bornes de chez moi (et faisait accessoirement du spectacle équestre, avec 3 entiers lusitaniens, et les rapaces de son compagon. Très chouette). Pourri comme tout, ce petit centre, des chevaux pas à la hauteur des cours de dressage car principalement destinés à l'extérieur, mais des cours qui m'ont appris à aimer le dressage, et grâce à un super Franche-montagne palo (Bivouac), hyper bien "au bouton", j'ai vraiment progressé. Donc pendant un an, un an et demi, j'ai monté là-bas. Mais j'ai arrêté, parce que ça ne me suffisait plus.
A côté de ça, en 2e année de prépa, j'ai rencontré Fée, la Palourde de ma vie, 13 ans, ancienne trotteuse groupe 1 (les meilleurs) mais cassée par un entraîneur trop con, puis laissée en retraite 10 ans au pré. Un caractère de mule mais en or, des réactions pour le moins étranges comme séquelles de son passé chargé, un équilibre catastrophique mais un dos et une bouche comme on en voit rarement. Une perle ratée, quoi. Ne connaissant rien au travail en liberté, n'ayant débourré que des shets, je me suis attaquée à son débourrage puis son dressage (elle acceptait la selle en brave bête, mais ne connaissait rien aux ordres, il a donc fallu installer les boutons). Je crois que j'ai pas trop loupé; je l'ai prise 2 mois dans un pré à côté de chez mes parents cet été pour en profiter (avec ma soeur qui avait emprunté le cheval du CE tout pourri), on s'est fait vraiment plaisir en extérieur, et à la fin de l'été ma jument sautait, et commençait à dresser honorablement (cessions à la jambe, épaule en dedans au pas et au trot); faut juste pas parler du galop...
Là dessus, j'ai fait une semaine de stage à Saumur, il y a un an... Dans les trois disciplines olympiques, en CSO je me suis éclatée, en cross aussi (sachant que j'en avais fait deux fois auparavant, la 1re s'était soldée par une entorse et 3 mois d'arrêt, la 2e par mon galop 7 grâce à une jument parfaite). En dressage, j'ai beaucoup bossé, mais les grands SF c'est vraiment pas ma tasse de thé. J'ai un énorme faible pour les ibériques... et les poneys ^^
Donc maintenant que je suis à Paris, je monte une fois la semaine un espagnol blanc de 7 ans à Maisons -Laffite (il appartient à une amie), et c'est à peu près tout... Le club, c'est fini pour moi, maintenant, à 21 ans, je n'attends que d'avoir mon cheval et pouvoir faire ce que je veux, c'est à dire tout, du dressage, du CCE si ça me chante, du TREC...
Voilà, pardon pour le roman, je suis intarissable sur le sujet :oopselaaa:
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alors moi j'ai fait un peu l'inverse de tout le monde...
en fait [ et je sais que c'est une grande grande chance ! :D ] il ya toujours eu des chevaux chez moi [anciennement chez ma famille paternelle ] mon grand-père étant agriculteur, il y avait toujours 2-3 lourds à la maison donc mon père sans pourtant monter connaissait bien, puis il s'est marié avec ma mère qui depuis ses 11ans en étant monté seulement 1fois en club ( oui je sais pas bien mais bon, elle avait les rudiments et... l'assiette du au fait qu'elle montait l'ane de la famille dès que possible :lol: ) possedait sa jument trottzouille : Caresse D'avril :coeur:
On a par la suite donné une jument a mon père (agriculteur) qu'on a fait saillir plusieurs fois et il ya toujours eu au moins 3 chevaux à la maison depuis que je suis née... :D ma mère étant ferrue et ma famille se mettant à l'équitation :D
Je ne me souviens que trés peu de mes premières fois... je me rappelle par contre qu'on me fesait toujours faire qq pas à dada après la balade... Ah si ! je me souviens de mon premier galop, ma mère et moi sur la selle, ça accelerait c'était devenu plus confortable pour mes ptites fesses et là j'ai demandé à moman : - on galope là ? -oui ! :w00t: :w00t: j'ai de suite adoré la sensation...
Mais bon n'ayant qu'on gros double poney pour débuter, les chevaux m'inperssionaient un peu quand j'étais à pied... j'ai donc réellement monté à partir de 7ans mais jamais vraiment régulièrement, pas que ça m'intéressait pas mais j'avais toujours peur quand j'étais à pied à côté :crying: alors qu'une fois perchée dessus c'était vraiment le pied.... jusqu'à mes 8-9ans ou j'ai eu un vrai déclic lors d'une balade finie par un galop plein cul, j'ai choppé le virus ! ah mais j'oubliais le sujet : comment j'ai appris ? ma mère m'a montré à peu près comment on tenait les rênes, comment il fallait "lever les fesses en rythme" au trot... jla revoit en train de me dire : " allez lucile c'est pas si dur : 1-2 1-2 tu, vois, comme ça ! :stuart: " le reste c'est venu instinctivement :-)
J'ai presque 16 ans maintenant et ça ne fait que 2 ans que je monte en club... d'ailleurs ma première séance a été trés comique, on m'avait donné une jument trés trés docile, j'ai sellé à peu près comme il fallait (en demandant à une voisine de boxe à quoi servait l'amortisseur !) mais arrivé au moment de mettre le filet j'étais pommée : j'avais jamais mis une muserolle de ma vie ! j'étais trop embarassée :blush: quand le prof est venue m'aider jme sentais trop mal surtout que je lui avait dit que je montais depuis un ptit moment maintenant :blush: :blush: :blush: Mon experience m'a quand même servie pusque j'ai passé directement mon galop 4 :D
Au bout d'un an pour des raisons diverses je tenais vraiment à avoir mon propre cheval... j'ai attendu encore un an et puis voilà mon loulou est arrivé et fait ma joie depuis 1 an et 3 mois :D
j'arrete là le roman :grin:
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j'ai commencé toute petite, à monter a poney .... dès que je voyais un poney, il fallait que je monte dessus :lol:
et puis par chance, au CP et CE1, on avait activité poney :-D j'ai donc commencé là, puis il fallait absoluement que je continue à la fin de l'année, c'etait vital, donc papa-maman tres compréhensifs :D m'ont inscrite dans un poney club de loisir essentiellement ballades, et jeux en carriere, un petit peu d'obstacle, et mes premiers sauts de troncs en forêt....
j'y ai forgé mon assiette en toutes circonstances :lol: j'y ai monté jusqu'a l'age de 10ans environ...
et puis, j'ai voulu changer pour me mettre réellement a cheval, et j'ai attéri dans une ecurie de CSO .... le travail en carriere, les barres, les nouvelles ambitions .... j'y montais les mercredi, samedi et dimanche, et surtout en dehors de mes heures de reprises on me confiait déjà les chevaux plantés :D
j'y ai rencontré mon premier amour cheval, que je n'oublierais jamais :crying: :crying: :coeur:
j'y suis restée peut etre un peu + d'an, avant que le club ne ferme :crying:
dépitée, je me suis rabattue dans un autre club mais axé dressage cette fois ci, la maison de grands cavaliers, dont un de complet mais ça, je ne le savais pas :D
ça m'ennuyait un peu, surtout que les cours obstacles finissaient souvent en cours de dress :blush:
j'y ai néanmoins appris les fondamentaux du dressage :oky:
et puis, j'ai attéri dans une écurie de proprios juste a coté de chez moi (ecurie de complet, véritable vivier de grands cavaliers de CCE, mais je ne le savais pas non plus :D), ou il y avait juste 1 cheval de "club"... j'ai commencé a le monter, au fur et a mesure, on m'a confié de plus en plus de chevaux au travail jusqu'a 5-6 par jour, j'y etais a peu pres tous les jours de vacances et apres l'ecole je prenais le chemin de l'ecurie plutot que la maison :D
j'ai eu mes premières demi pensions, mes premiers concours .... et la rencontre avec THE coach :blush: il m'a formé, et emmené plus loin que toutes mes ambitions :):
et ceci pendant 7ans ....
a l'adolescence, j'ai tout arrêté :blush: les études, les garçons, la nouvelle vie parisienne, un long voyage .... :stuart:
mais le virus du cheval reprend toujours a un moment donné, donc j'ai recommencé a monter dans divers clubs, ça m'a permis de retrouver les boutons, mais rien ne me plaisait :crying: je ne trouvais pas mon compte non plus avec les DP dans les ecuries de CSO, du coup, je me suis vue confier des chevaux jusqu'a ce que je saute le pas et achète mon premier cheval :stuart: puis, le second quand le premier parti en retraite ....
Plus tard, ironie du sort, je re-rencontre THE coach que j'avais perdu de vue depuis des années, et vient de lui confier mon cheval actuel en pension :-)
comme quoi, on revient tjrs aux sources :blush:
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Moi j'ai commencé vers 8/10 ans dans un centre de balade,
En fait, mon premier souvenir à cheval, c'était en CP je crois, pour la sortie de fin d'année de l'école. On avait du passer la journée dans un centre de loisir (je me rappelle plus trop) avec diverse activités, dont équitation.
Je me souviens de m'être retrouvée à côté d'un truc qui me paraissait immense par rapport à moi (si çà se trouve c'était juste un grand poney :D ).
Et puis on m'a installé dessus, pour un petit tour au pas, et là, c'était magique, j'avais l'impression d'être géante, je voyais le monde de si haut :w00t: J'ai adoré la sensation du cheval qui marchait... Je pense que c'est à partir de là quej'ai voulu essayer.
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C'est marrant comme il y a certains invariants dans les parcours (auxquels je ne déroge pas d'ailleurs) : le coup du club quand on est petit, de l'arrêt à l'adolescence et de la reprise à la vingtaine/trentaine selon les cas !!
Pour ma part, c'est un peu ce schéma là :
* en club de mes 5 à 12 ans. 7 ans dont je garde un plutot bon souvenir parce que le club était sympa, mais bon... c'était un club quoi, donc une balade tous les 36 du mois, durant laquelle 12 chevaux partaient plein pot au grand galop après avoir vu une balle ronde au milieu d'un champ..
* Arret de mes 12 à 22 ans. plus de cheval dans ma vie. J'avais presque oublié que j'en avais fait.
* 22ans (l'année dernière), je passe l'agreg de lettres, donc bcp de boulot, mais besoin de décompresser aussi. Parallèlement, une amie d'achète un espagnol de 8 ans. Je vais le monter une fois, pour voir et ressentir ce que ça fait... eh ben oui... Gros frissons "ah j'avais oublié ce que ça faisait, l'odeur que ça avait..." Du coup, je voulais m'y remettre mais surtout pas en club, je voulais faire de l'extérieur. Je décide de prendre une fjord en DP, mais ça tombe à l'eau.
* un mois plus tard, contact avec un maquignon qui vend une fjord de 5 ans : j'achète mon Poney sur un coup de tête... ça me faisait décompresser du boulot, j'allais la voir tous les week end, le reste du temps elle était au pré avec des potes !
* cette année, j'ai rapporché le poney de chez moi, j'y vais plus souvent, on bosse un peu plus, et surtout, va arriver (samedi !!) ma deuxième jument : Rubyx ! Toujours pas de cours, pas d'encadrement, donc balades balades et randos. Je compte débourrer Ruby en western quand même, au printemps prochain !
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C'est marrant comme il y a certains invariants dans les parcours (auxquels je ne déroge pas d'ailleurs) : le coup du club quand on est petit, de l'arrêt à l'adolescence et de la reprise à la vingtaine/trentaine selon les cas !!
Que c'est mignon tout ces souvenirs. Ben non, pas moi. Ou alors je suis l'exception qui confirme la règle. :) Je n'ai jamais été attiré par les chevaux, et les peu de fois où j'avais mis les pieds dans une écurie, je restais soigneusement loin des chevaux car je croyais qu'ils ruaient pour un rien. Et puis à la suite d'une envie de découvrir autre chose pendant l'été 2006 à 36 ans, j'ai fais un séjour dans une ferme équestre pour m'initier à l'équitation pour voir et à défaut me promener à pied.
La suite est connue pour ceux qui lisent mon thread d'apprentissage: Je me suis aperçu que chaque cheval a un caractère diffèrent, et je m'amuse comme un petit fou à faire une heure d'équitation par semaine, voire plus quand le centre en organise en plus. Et en semaine je repense à mes sensations en reprises et comment corriger mes erreurs :lol:
:cheval:
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Il faut dire que l'équitation pendant l'enfance est un sport beaucoup plus féminin que masculin: ceci explique cela. Il suffit de voir la proportion fille/garçon chez les enfants, proportion qui n'est pas aussi écrasante chez les adultes.
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Ce qui fait de l'équitation en général, un fil conducteur parfait pour les mecs célibataires ! :D
:out:
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Ce qui fait de l'équitation en général, un fil conducteur parfait pour les mecs célibataires ! :D
:out:
C'est vrai c'est un bon creneau pour les rencontres!.non?
Moi aussi :-D et je sors
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Moi, j'ai commencé à monter dans un centre de location de chevaux de randonnées. Je me suis acheté un cheval, un arabe (qui appartenait au centre de location), après 3 randonnées seulement. Aucun cours. Tout le contraire de ce que je conseille aux gens, mais bon lol. Avec lui, je faisais exclusivement de la randonnée : il allait dans les bois et il bouffait des carottes, c'était principalement ce que je lui faisais faire lol.
J'ai eu mon cheval pendant 1 an avant de prendre des cours d'équitation. J'ai commencé ma formation équestre avec une entraîneure de barrel racing/pole bending (gymkhana). C'est avec elle que j'ai fait mon cavalier I, II et que j'ai débuté le III. Ensuite, j'ai poursuivi ma formation avec des coachs orientés performance, reining et même western pleasure.
J'ai encore mon arabe, my old buddy, mon premier amour.
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alors ; moi jai commencer en poney club , d'ailleurs un des tout premier en France.....avec un cadre superbe au pied de la St Victoire; ensuite avec laFac , toujours en club sur Aix en provence , j'y avais d'ailleurs acquis un bon niveau , avec une bonne assiette
et par la suite comme la compete ne me disit rien je me suis dirigée vers la rando . j'ai monté pas mal de chevaux dit difficiles mais c'est surtout les cavaliers qui en font des chevaux durs !!sauf pour les caracteriels....je me suis aussi arretée un an à cause d'une mauvaise chute sur la genou; maintenat j'ai le mien et difficile ou pas ; je compte bien assumée mon choix!!! :cheval:
j'ai toujours voulue avoir mon cheval comme tout cavalier et avais economisé pour ça , c'est d'ailleurs en juin dernier que j'ai pu acheter mon 1er cheval.....
un rêve....un coup de coeur aussi
c'est très constructif car le mien va avoir 2an1/2 alors on fait des projets....et puis on verra bien ce que l'on fait ou pas....on prend le temps
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Pour moi, c'est un peu comme phili_b sauf que je suis plus jeune :P
Je m'ennuyais pendant mes vacances d'été :ermm: et j'avais envie de me balader mais toute seule (zhom est hyper casanier <_< ) pas terrible :huh:
J'aurai aimé faire de la rando pédéstre :-D et je me suis dit "pourquoi pas à cheval? moins fatiguant, assis, cool cool :cafe: "
A noter que je n'y connais RIEN en canasson à l'époque :pouet: (j'avais juste fait un tour a pas dans un tout petit centre de loisirs (balançoires, tobogans, aire de jeux et chevaux)
Il y a bien un CE à 5 minutes mais je vais en voir d'autres en priorité, imaginant que c'était inaccessible et snobinard :blush:
Finalement je vais le voir ce CE tout près, les autres sont soit vides, soit bondés et impossible d'avoir un renseignement :o
J'entre dans la cour, des gamines se marrent bien avec la mono (1er bon point), je reçois les infos demandées et un planning des heures de reprises et les tarifs :clapclap:
Je vais faire un essai, j'ai un mal fou à trotter enlevé (je n'ai JAMAIS fait de sport, le mot "sport" en lui même me fatigue :uh: ), je suis obligée de tenir la crinière pour ne pas m'envoler !!!
Et ce fût la révélation :ange:
Bref, j'ai obtenu mes deux premiers galops (étrier de bronze) et, pour ceux qui ne suivent pas la tribu des raconteurs de reprise, je suis dans un cours de plus haut niveau où je m'éclate même si je galère graaaaave :chris:
:cheval:
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J'ai oublié de dire, c'était en juillet 2006 :ptitebiere:
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J'ai commencé par des stage au Ménuires pendant les gra,des vacances quand j'était petite. hiver c'était le Ski.
Puis j'ai demandé a faire de l'équitation en club, mes parents n'étaient pas OK, alors j'ai continué les stages et rando.
Puis j'ai eu le droit au fameux "SI" on démanage TU pourras faire du cheval.
Et mon père a eu sa mutation, on a déménagé en 99, un club a 1km a travaers champs lol
J'ai donc enfin pu commencer au centre de tourisme équestre de Gauchy (02)
3 ans après on a redéménagé, et je suis arrivée au poney club de Mastaing (59), j'ai commencé le pony games....
J'y ait acheté ma ponette aussi.
J'ai de nouveau déménagé 5 ans après.
Pour ^tre honnéte je pense que si je navait pas quitté Mastaing avec ma ponette je n'aurrais pas continuer l'équitation ici. Car aucun club ne me correspond dans ma nouvelle région. Heureusement j'avais ma poons donc on a pas mal voyagé entre écurie de proprio avant d'en trouver une géniale il y a 1 ans.
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Eh bien moi, c'est ma fille Eléonore qui nous a entrainée! On l'avait inscrite au tennis, mais elle nous a tannée pendant plus d'un an pour faire du cheval. Personne chez nous ne monte, et personne ne connaissait quoi que se soit en équitation, nous pensions donc tous que l'équitation n'était pas du sport (on a tous changé d'avis depuis, je précise).
Bon, on se décide en août 2006 à aller voir quelques grands manèges dans les environs, mais l'acceuil n'est généralement pas très "accueillant" (ils devraient prendre des cours de communication, ces gens :wacko: )
Finalement, on tombe sur un manège tout petit, et le type nous tiens la jambe pendant 1h30, parlant de tout, sauf d'équitation, puis il nous dit finalement, bon à samedi prochaîn, 11heures. On ne savait toujours pas combien, ni quoi, ni comment, mais bon, on s'est rappliqué le samedi suivant à 11heures. La petite à fait un cours à la longe, elle était aux anges, je pense qu'elle na jamais été si heureuse que cette fois-là...
Puis on est revenus, semaine après semaine, enfin, surtout mon mari, parce que moi, les chevaux, c'était vraiment, mais vraiment pas mon truc. Puis, mon mari à eu quelques empêchements, j'y suis donc allée à sa place. Petit à petit, on commence à s'intéresser à la "chose", on donne un coup de main pour curer les pieds, pour brosser etc. Puis, on se rend compte que cette grosse bestiole est plutôt sympa, elle est douce, j'aime son odeur (c'est bizarre, ça, hein???)
Un beau jour, le prof dit, mais prends tes bottes et monte. Première réaction: euh non merci, je ne suis vraiment pas intéressée! Puis l'idée fait son petit bonhomme de chemin, et finalement, un beau soir de février 2007 (oui, il y a quelques mois seulement) me voilà perchée sur Tina. Au moment même: grosse frayeur: la Tina est gigantesque! Un peu de pas, un peu de trot à la longe: c'est LA découverte!!!
Le seul problème, ça a été après le cours: je ne savais plus marcher, (ben oui, 38 ans, et pas un atome de sport dans ma vie!) mais je suis restée assise une heure en plein extase (le cheval, c'est mieux que le chocolat!!) Et depuis, je n'ai plus qu'une idée, c'est être à cheval! (à mon avis, il doit y avoir de la drogue dans les tapis de selle :-))
Donc voilà, on est encore toujours dans ce même petit manège, l'ambiance est super, il y a une entraide entre cavaliers extraordinaire. J'ai passé et eu mon brevet de bronze la semaine passée (Ca doit correspondre à votre galop 1 ou2). Dimanche on a fait un petit challenge interne, et à mon très grand étonnement, j'ai remporté une épreuve :blush: . Cette expérience change ma vie, et celle de ma famille, que je bassine avec mes histoires de cheval... :D
La petite a la même passion, et c'est vraiment chouette de partager ça avec son enfant. Le zhom, il a moins accroché, mais il monte quand même de temps en temps, avec l'idée de pouvoir nous accompagner lorsque nous ferons des ballades.
Voilààà, toute l'histoire (enfin, ça, c'est l'intro, le reste doit encore être écrit!)
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Eh eh!!! Moi, je fais partie des exceptions, ayant eu bcp de chance (Merci aux parents!!!)! Première photo sur un cheval... je dois avoir 2 ou 3 ans!!! Sans compter que j'ai dû en faire dans le ventre de ma môman avant! ;)
En fait, quand j'étais petite, mes parents étaient très amis avec des personnes issues du monde agricole. Comme ils avaient hérité d'une propriété à la campagne, ils avaient des moutons, un âne et deux juments. Donc dès mon plus jeune âge, j'ai monté âne, double poney et chevaux! Je crois jamais être passée par le stade poney, mis à part une fois... à 24 ans, pour des poneys games! Mes montures faisaient toujours minimum 1m45 ou 50.
Jusqu'à 7 ans environ, je montais avec mon Papa, à deux sur la selle, et ensuite, toute seule! Dur dur de maîtriser ces grosses bébêtes parfois! Heureusement, elles étaient adorables et super intelligentes! J'ai donc appris avec mon autodidacte de Papa, qui a lui même appris sur les chevaux de traits de la ferme de ses parents.
Donc, je fais du cheval en balade et rando, avec de l'équipement western, depuis une vingtaine d'année. A présent, mes parents ont 3 chevaux à eux, et je croise les doigts pour que ça dure... surtout, qu'on s'y attache! :)
J'ai eu l'occasion de faire un an de club cet année (environ 1h par semaine)... et là, ça été le choc! lol! :D Monter sur une selle anglaise en tournant en rond dans un manège... et bien c'est bien moins évident que ce que je pensais! Les petites ados en cours avec moi me disaient: "C'est bien, tu montes pas mal, vu que t'en fait que depuis septembre!"... et moi de répondre "heu, oui, sauf que c'est depuis septembre...1990 en gros. Vous étiez pas encore nées quoi!!! ;) ".
Enfin, ça a été une bonne expérience, car je me suis rendu compte qu'en rando tranquilles, on prend plein de mauvaises habitudes, et on s'habitue au confort des bonnes grosses selles qui demandent pas trop de technique (assiette...)... mais bon, après, on comprend mieux pourquoi on tombe quand ça se complique!!! :lol:
Voili voilou! :-)
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Mon premier souvenir à cheval... Je devais avoir 10 ans.
Ma soeur (qui vivait avec son père) donnait un coup de main dans une écurie, on est allé la voir.
La mono m'a proposé de prendre un cours.
J'ai monté Rêva, la plus belle jument du monde :love:
Mais mes parents n'avaient pas un radis, du coup je n'ai jamais osé demandé à prendre des cours. Et puis j'ai oublié... jusqu'à la fac.
Une copine m'invite chez elle l'été. Elle a un petit camargue, et me propose de le monter dans le pré. Direct trot enlevé, c'était comme si j'avais fait ça toute ma vie.
Et mon premier galop, à cru, le bonheur.
A la rentrée, inscription dans un grand club.
Il m'arrive plein d'histoire avec ces chevaux fou, mais j'adore.
Ca y est, j'étais foutue. Dépendante à vie.
J'ai pris des cours pendant 2 ans, et puis mes cours à la fac et mon job à mi-temps ne me permettait plus de continuer les cours.
J'ai fait plusieurs ballade avec le camargue, j'avais tellement envie de monter plus souvent.
2008, j'ai enfin mon premier vrai boulot. Après plusieurs ballade avec un ranch, je m'inscris dans un club en septembre, mais je me coince le dos. On me dit de ne pas monter à cheval (plus jamais!)
Avril 2009, rien à foutre. Je me réinscris, j'ai la peur au ventre mais une mono super à l'écoute. En 2 mois je reprends confiance en moi.
En septembre, je continue les cours et je prends un cheval en DP. Un gros semi-trait.
J'ai arrêté les cours depuis la semaine dernière, et j'ai même passé mon galop 3. Je continue à m'occuper du Gros.
Maintenant, j'attends plus que le bon moment pour m'acheter MON cheval...
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:w00t: C'est super comme sujet.
Pour ma part, quand j'étais petite, j'étais attirée par tous les animaux.
Comme j'habitais en banlieue parisienne, c'était plutôt chien et chat. Et puis nous avons déménagés à la campagne. Toujours chiens et chats car c'était en bauce donc culture, culture et culture à perte de vue, pas un mouton ni une vache (juste quelques cochons).
En vacances, j'avais déjà fait 2 balades avec le cheval tenu par les parents dans une forêt dont j'ai perdue le nom. Dont une qui ma value de me retrouvée la tête en bas, mon père et mon frère ayant eu la merveilleuse idée de faire courir le poney. Celui-ci n'étant pas sanglé très fort, j'ai tournée avec la selle :lol:
J'ai refais une balade, en groupe cette fois sur une vieille jument (d'ailleur, j'avais eue trop peur parcequ'on marchais sur le bord d'un chemin où après c'était le vide :wacko: ), toute la balade je pouvais pas m'empécher de regarder ce gros trou qui pour moi n'étais qu'à 3 cm des petits petons de ma jument.
Après, mon père a acheté une pizzéria en Charente et ma mère et moi sommes restées en Bauce. Tous les week-end on faisait la route pour que ma mère aide mon père à la pizz'. Et, département oblige, c'est "grace à la Charente" que je monte à cheval.
Ma tante (une des soeur à ma mère) monte à cheval et elle est venue quelques fois à la maison. Elle en a donc profitée pour me faire monter à cheval. J'ai donc fait une balade en groupe, c'est là que j'ai fait mon premier galop :w00t: (la madame qui fait les balades d'ailleurs n'acceptais pas les mineurs mais ma tante a tellement insistée).
Après ma tante nous a pris un cours en club. J'ai appris à trotter en lever.
Et puis, je ne sais trop comment, je me suis retrouvée à prendre des cours dans un petit centre équestre. C'était environ 1 fois par moi mais je progressais à une vitesse inouïe. J'ai passée mon galop 1 la première année, l'année d'après c'étais mon galop 2 et nous sommes venus vivre en Charente.
Ma tente sortais avec un gars qui avait des chevaux et ils se sont fait un tour de france à cheval, ils ont donc fait une halte chez nous, et pendant 2 semaines -1 mois je me suis occupée de leurs chevaux (il étaient dans notre "jardin").
L'année après avoir passée mon galop 2 j'ai passée le 3 et l'année d'après le 4.
Avant de passer mon galop 4 j'ai fait un stage chez une éleveuse et cavalière pro, Audrey Radet, qui est aussi amie de mes parents.
Ensuite, vient le lycée. Je ne savais pas quoi faire comme métier plus tard, enfaite, j'avais beaucoup d'idée mais toutes quasi impossibles pour moi (traductrice ou interprète français/japonais, laborentine, musisciène pro, ingénieur du son et de la lumière, photograpge ...). Ma mère m'as demandée si je voudrais pas travailler dans les chevaux et je lui ais répondue que c'étais pas parce que je montais à cheval que j'allais travailler dans les chevaux :ange:
Je décide donc de faire un BEPA Elevage Canin et Félin (alors qu'avant, je ne savais même pas qu'il existait des éleveurs de chiens et chats :blink: ).
J'ai arrétée de monter en club régulièrement, juste quelques stages pour les vacances ou une leçon par-ci par-là. Au club, il y avait une ponette que j'adorais et m'a mère m'as dit que lorsqu'elle partirais à la retraite, elle viendrais à la maison. Et l'heure de la retraite venue, elle attérit chez moi. Une véritable pétasse ambulante, impossible de l'attraper au pré et immontable (c'est pour ça qu'elle est partie en retraite :D ). Ma vie avec les chevaux passe du statut "club" à celui de "proprio".
Maintenant que j'ai ma ponette, j'ai de plus en plus envie de devenir éleveuse de chevaux, et je me décide en 2ème année de BEPA qu'une fois mon BEPA en poche je ferais des petits boulots pour pouvoir créer un élevage de chevaux, chiens, chats et cochon d'Inde.
J'ai mon BEPA, je ne monte plus du tout en club, juste un peu ma ponette. Je ne veux pas faire de BAC PRO et on me dit que c'est obligatoire pour faire un élevage de chevaux donc, hop ... j'attéris dans une MFR à faire un BAC PRO Conduite et Gestion d'Exploitation Agricole Système à Dominante Elevage.
A la MFR on monte une fois par mois, histoire de dire que l'on voit des chevaux durant la formation ...
La première année se termine, j'ai des projets pleins la tête et j'ai hâte d'avoir finie l'école. Je me dis quand même que se BAC PRO ma permis pas mal de truc: j'ai découvert un super élevage avec un patron sympa et des employés top, un véto que j'adore et une ambiance super bonne et qui m'as permis de faire saillire ma ponette (avant qu'elle arrive chez nous on avait cette idée en tête). Je me suis aussi faite une super amie. Et j'ai une expériance professionnelle, je n'avais connue que le club et mon stage d'un semaine chez Audrey Radet.
C'est les grandes vacances, l'année prochaine c'est le BAC PRO. Notre ancienne maison est enfin vendue, ma mère m'avais promis un ou deux poneys avec une partie de l'argent et c'est chose faite. J'ai mon petit Volème et j'aurais bientôt ma petite Aquarelle.
Je ne monte toujours pas régulièrement en club, je ne monte quasi jamais ma ponette mais de toute façon, ce n'est pas l'équitation ma passion, c'est les chevaux. Je préfère largement passer des heures à côtés d'eux que sur leurs dos. J'ai quand même comme "projet" de passer mon galop 5 et idéalement le 6 et le 7 pour pouvoir faire des concours, ce n'est qu'un peut-être, un projet.
Sinon, avant d'arréter de monter en club, j'avais fait une saison de concours de dressage en E3 et j'étais même arrivée 3ème execo au championnat départemental.
Donc voilà, j'en suis là et dsl pour le roman :D :lol:
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Pour ma part,j'ai commencé l'équitation avec les chevaux de ma grand mère à l'âge de 10 ans.J'ai dû faire 5 ou 6 sorties.Puis après plus rien!!Jusqu'à que j'ai mes 23 ans et là je dis à ma grand-mère vient on montes dans les Vosges,on va alller voir si on trouve un cheval car j'ai sérieusement envie de remonter.Donc on file au centre équestre(Ma grand-mère avait déjà acheter un super cheval là-bas).Sur place,je commence à en essayer une ,rien de convaincant,puis la 2 ème arrive et là gros coup de coeur.Après 15 min d'essais et de reflexion,je dis au propriétaire,je prends!!!! :): 3 jours après l'arrivée de la jument,j'effectuais ma 2 ème sortie et là boum ba da boum!Grosse chute mais rien de cassé!Donc je prend la décision de prendre des cours et d'enmener mon cheval dans un centre équestre proche de chez moi.Au bout de 6 mois,Je commençait à sortir seul en pleine nature et décida de faire du Cso.J'acquis une nouvelle jument qui alla me poser pas mal de soucis par la suite.Au bout d'2ans,je commençait à saturer grave.L'ambiance centre équestre et les propos de certaines personnes commencait m'écoeurer. Donc je décida de ramener mes 2 chevaux dans les champs de ma grand-mère.1mois après je me rend compte que la dernière jument est fragile des pieds et qu'elle possède un caractère étrange .1 jour je demanda au maréchal de passer,jusqu'à là c'était l'ancien propriétaire qui s'en occupait,et là surprise impossible de prendre un pied à la jument sans qu'il y est panique générale.J'avais déjà pas mal eu de soucis auparavant pour curer les pieds mais je me rendais pas compte qu'il avait quelque chose de bizarre.Du coup,je repassa pour voir si au centre equestre si on pouvait la reprendre;et là on me dit l'ancienne propiétaire à mis les voiles et qu'on peut rien faire pour moi.Je saurais par la suite que la jument était dangereuse et qu'il voulait s'en débarasser :huh: . Bref je decida de m'occuper moi-même des pieds en commençant par à enlever les fers.6mois après,un abcès apparu à l'antérieur gauche.Donc vu que la jument ne se laissait pas faire,pour trouver un vétérinaire,c'était mal barré.Mais j'en trouva 1 courageux.Donc rapport du véto:il faudra trouver un box pour votre cheval afin que son pied reste au propre pour 2 mois le temps que tout se remettes en place.Donc j'enmenas la jument dans un élevage.Finalement au bout de 3 mois,le pied était soigné et en même temps j'avais remis en confiance le cheval!Entre-temps,pour me perfectionner au niveau maréchalerie,j"avais pris RDV chez une personne qui enseigne le métier de maréchal-ferrand et je lui ai parlé de ce fameux cheval.Finalement cette personne me repris la jument et d'ailleurs il réussissa à la suite à y remettre des fers et à la remettre au service de son club.A ce jour j'ai beaucoup de regrets de l'avoir vendue car avec l'experience que je possèdes maintenant,j'aurais pû en faire un super dada.Bref retour à l'élevage ou j'avais remarqué au passage une pouliche d'1 an qui avait pas mal de punch.Finalement au bout de 2 mois,j'étais concquis et décida de la prendre.Et là j'avais bien choisis car à ce jour,elle est vraiment top!!! Depuis,je ne fait plus que de la randonnée(Recemment 1 semaine dans les vosges en solo) avec mes 2 juments.En tout cas mon regard a bien changé envers les chevaux.
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Eh bien que de belles histoires...
Pour ma part je suis monte pour la première fois sur un poney vers 7 ou 8 ans pour une balade et De la est née l'envie de monter.
Mais après quelques couanseans un centre équestres ou je ne pouvais aller qu'un samedi sur deux ( cause parents divorcées) jetais dégouter des clubs! Et oui les groupes de copines se formaient sans moi, puis l'ambiance était nul les cours a tourner en rond en passant des barres au sol .... C'était pas pour moi!
Alors arrêt du club , je continue a monter par le biais Dun voisin qui fait du buisness ( genre de pension) et m'occupe des chevaux qui n'ont pas la chance être monter par leurs proprio, donc au programme balade avec son fils ... Mais ca ne dure pas il arrête son activite et moi jessai de monter dans des manades en tant que " touriste" jusqu'à il y 3 mois ou je saute le pas ... Les clubs c'est pas pour moi alors jachete mon Loulou 1 mois de clubs pour me remettre le pied a letrier et hop direction la maison!
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moi depuis toute peite j'étais attiré par les chevaux
ma cousine en avait un mais mes parent disait que c'était un sport de riche
donc pendant des année j'ai supprimé ce reve de mes pensées
mais de l'age de 7 à 12 ans on ait partit en vacance en auvergne et j'ai pu une fois par an monter à dos .....d'ane
alors j'ai attendu quelques mois pour mon anniversaire, au mois d'avril (9 mois d'attente) et j'ai put avoir à mes 13 ans un cour d'équitation dans un club pas très chere (10€ la lecon d'1h)
puis à l'age de 14ans grace à mes bons résultats et pour mon noel et mes anniversaire mais parents ont pu débourser de l'argent pour que je puisse monter 2 fois par mois et donc j'ai put en remettre (grace à des petits travaux comme faire le jardin chez des voisins,peindre des piquets,aider les agriculteurs de mon village...)
j'ai put enfin monter 1an en club et tous les mois :clapclap: :clapclap:
et à l'age de 15ans j'ai pu économiser pour acheter le juju de mon club que personne n'aimait et aussi grace à mes parents qui ont déménager(à cause des impots en ville) pour vivre au village avec une belle pature
et maintenant je suis en BAC pro élevage et valorisation du cheval
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C'est super intéressant comme post ! Je viens de tout lire d'une traite ! :lol:
Pour ma part, je n'avais jamais vu un cheval de près jusqu'à mes 7 ans, âge où j'ai fait un mini stage découverte à Belle ile en mer... 1ère sensation, 1ère chute aussi...
Mais depuis toute petite, j'ai été bercée par les récits de mon conteur de grand père. Celui ci avait eu un cheval durant la guerre. Jamais nous avons eu les détails de l'atrocité qu'il a du vivre, toujours ressortait son amour pour son cheval et le lien qui les unissait dans ces moments extrêmes... J'ai toujours rêvé de vivre une telle union.
10 ans, je fais ma 1ère colo à dominance équestre, en viendront plein d'autres. Mais je ne monte qu'une 3 semaines par an, je tanne mes parents pour monter en CE...Comme beaucoup la réponse est sans appel
13 ans, papa entend parler d'une écurie de propriétaire qui cherche une aide pour l'entretien des chevaux, il en parle à ma soeur, qui avait le même parcours que moi à l'époque...Elle, elle a 20 ans, c'est donc a elle que papa en parle, elle n'ira jamais, je me propose à grand cri
C'est parti pour 4 ans de bonheur, l'écurie de propriétaire se transforme au fur et à mesure du temps en équitation de loisirs, proposant des balades et rando.. J'y vivrais des instants magiques... J'y bosse et en échange, je monte dans cet univers familial.
Mais le centre doit fermer, je suivrais l'ate dans une ferme... 2 ans idyllique qui se transforme peu à peu en enfer. Je dois faire 30 km avec ma shtroumfette (ma belle mob' bleue :lol: ) soit 60 km par jour...Plus la journée là bas... Et on remarquera petit à petit que le proprio est un vrai c***ard...
Bref, je partirais, disant adieu à mes souvenirs d'ado...
Puis l'année d'essai dans tous les CE du coin. Je m'arrête au plus près et gagne à 19 ans ma 1ère carte 10heures que les parents m'offrent. Je découvre cet univers "m'as tu vu" et de concours qui commencent à l'entrée de la propriété. Je n'ai jamais aimé le cso, je suis écoeurée par cet acharnement...Je connais mes premières peurs et appréhensions à cheval. Je partirais dès mes 10 heures effectuées.
20 ans, je fais un stage pro dans un centre pour IMC (infirme moteur cérébraux) et y découvre l'équithérapie..J'accorche à fond et décide de mon parcours pro !
Puis 2 ans de creux, sans croiser l'ombre d'un sabot... J'ai découvert l'amour et mon esprit est loin de penser aux chevaux
22 ans, je quitte ma famille, mes amis, mon amour pour la Normandie...J'y ai trouvé mon boulot de rêve.
Une collègue possède une trotteuse dont elle a peur, elle me propose de la travailler. Je retrouve mes sensations...Redébourrage de la belle, 1ères balades avec son nouvel ami Jazz
Je reprends confiance et l'envie qui ne m'a jamais quitté...Avoir mon cheval !
Et à 24 ans, je l'ai mon cadeau de noël que tous rêve... Toute la famille s'est rassemblée et ils m'ont aidé à m'offrir Quidam !
Après vous connaissez la suite... Je me suis abonnée au sab à ces moments... Violà, encore un roman :lol:
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Ceux sont toutes de très belles histoire que vous racontez là, des parcours sommes toutes différents et fort intéressant. :blush:
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Moi je devais être tellement jeune que je ne me souviens pas de la première fois que je suis montée à cheval.
Mes grand-parents habitaient en Normandie, au dessus de l'écurie d'un grand cavalier et s'étaient liés d'amitié avec lui et sa femme. C'est donc naturellement qu'ils nous ont mis, mon cousin et moi, à cheval, très tot, chez ce monsieur.
Pas de poney, on a eu le droit tout de suite aux grands. Je me souviendrai toujours de Kaa, double poons alezane ou petite trotteuse (???), sur qui mes jambes ne dépassaient même pas les quartiers de la selle... Et Sir, pur sang réformé, immense (enfin pour moi à l'époque) et parfait cheval de débutant.
Habitant en région parisienne, on était très souvent fourré chez les grand-parents, j'étais donc déjà une cavalière régulière à 6 ans.
Les chevaux étant tellement bien dressés, je n'avais pas grand chose à faire. Je savais juste les bases et c'était bien suffisant pour aller en ballade ou tourner dans le rond de longe couvert (la plus grosse difficulté dont je me souvienne a été UNE barre au sol, sur laquelle, d'ailleurs, Sir a trébuché et je suis tombée !).
J'ai eu aussi le droit à quelques séances de voltige qui je pense m'ont bien servi à prendre confiance parce que mine de rien, ces grosses bêtes avec leur grosse bouche me faisaient un peu peur. Je me souviens que quand mon cheval était dans le box au fond du couloir, je me baissais pour pas que les chevaux me mangent la tête ! :rire:
Quand j'avais 8 ans, mes grand-parents ont déménagé dans le sud et pas de centre équestre dans le coin (enfin pas dans le voisinage, parce que j'ai découvert que certaines saboteurnautes vivent là bas, donc y avait bien des chevaux, ils m'ont bien eue les bougres !)
Habitant toujours en ville, j'ai donc arrêté l'équitation.
Et puis, en CM2, on est parti en classe verte dans les landes, avec activité poney presque tous les jours. Bin j'ai fait ma craneuse pendant tout le séjour parce que j'étais la meilleures !
La même année, mes parents ont fait construire ma maison actuelle, toujours en région parisienne mais à la campagne. Et ô joie, il y a un centre équestre dans le village !
Inutile de préciser qu'avec la piqure de rappel de la classe verte j'ai commencé à tanner mes parents pour reprendre l'équitation.
Je crois avoir attendu un an, à aller régulièrement au club, papouiller un poney de proprio qui a été mon premier très gros coup de coeur.
Et en 5ème, bingo ! J'ai eu le droit de prendre un cours par semaine jusqu'à l'année du bac où j'ai commencé à sortir très très régulièrement (vendredi soir boite, samedi matin ou début d'aprem équit, samedi aprem direction Paris pour voir les copains de boite et samedi soir boite).
J'ai donc arrêté les cours d'équitation et laissé mon poons (qui entre temps avait été racheté par le club, que j'avais pris plusieurs fois en dp, qui pétait un cable et faisait tomber tous les cavaliers qui ne le connaissaient pas bien) à contre coeur.
Pendant 4 ans, j'ai continué en dilettante, un mois de dp sur mon petit Banco, monté par ci par là, le cheval de ma meilleure amie, chez mon premier coach, chez mon dernier coach, etc
J'avais demandé au patron du club de me prévenir s'il se séparait de Banco, mais je pense qu'il ne m'avait jamais pris au sérieux puisqu'un jour en discutant avec une voisine nouvellement proprio dans ce club, j'ai appris qu'il s'était débarrassé de mon loulou. Et je n'ai jamais réussi à soutirer la moindre info pour le retrouver.
Ca me fait toujours un pincement au coeur de penser à ce poney, tellement génial qu'on pouvait mettre n'importe qui sur son dos, qui, s'il était bossé correctement aurait pu briller en concours, qui, malgré ses heures de boulot au club avait gardé son carafon...
Et l'année dernière, petit tour sur les annonces internet juste pour voir et hop, gros coup de folie, j'ai acheté mon jaune !
Grace à lui, j'ai découvert ce qu'était un cheval (en club on apprend juste à monter dessus et je passais déjà pour une extra terrestre quand je me préoccupais du bien être de mon ti poons).
J'ai découvert l'étho, une approche différente qui force le 2 pattes à réfléchir au lieu de se facher.
J'ai découvert l'extérieur et c'est résolument la direction que je veux prendre avec mon jaune.
Ca et si un jour j'arrive à l'y mettre, l'EW.
Et encore une fois j'ai écrit un roman ! :out:
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:love2: C'est super toutes vos histoires :w00t: :w00t:
Moi, petite, j'habitait à Créteil, alors pas de chevaux dans mes rêves, que des cygnes me disait mes parents ( bizzard non :ermm: ); puis démmenagement radical, un village de 1500 hab dans l'oise, avec des vache dans le village, si si je vous jure!
Un jour, au collège je crois, est organiser un stage équestre de trois jours, je rencontre Tafi des sources qui a cru bon de me faire valdingué pour mon premier galop, bilan: une bombe fendu et une grosse peur du galop :rire: ;
puis quelque année après pour un autre stage d'une semaine un moment magique, on a joué au voleur et au gendarme, ou un truc comme ça,moi sur une petite camarguaise qui devais s'amusé autant que moi à evité les autres, un pur moment de fusion avec cette mémére, pas besoin d'ordre de direction ou d'allure.
Puis le traditionelle ''trou des études et des amoures" Qui se sont étrangement dirigé vers le monde agricole et surtout l'élevage. Etude à droite et à gauche, une dizaines de leçons en club sans jamais vraiment m'intègrer et petit boulot en attendent qu'un certain hom finisse ses études a lui. et en 2005, l'instalation en chèvre laitière est sur le point de se concretiser et mon hom m'offre un cheval, QUOI!!!!!! tu est sûr! , lui ai-je dit. il me répond 'oui on va l'essayer'. Il me traine dans un élevage de trotteur et me voilà sur le dos d'une jument, aussi étonné que moi car elle n'avait été selle que cinq fois, au programme de la recontre : DU TROT! mais pas de chute, alors c'est ok.
J'achete tout les équipements pour une ballade et on part dans les champs, au programme, DU TROT! mais pas de chute!
après cinq ballades au trot, j'ai demender le renfort d'une amie qui est littéralement née sur un cheval. Elle me bricole un "GOG'' je croit et me fait acheter un mors avec du cuivre pour faire salivé la belle et la détendre. elle me montre aussi un exercisse pour détendre la jument et lui fait baissé la tête. Apres quelque mois de se traitement, les ballades était vraiment plus cool et on pouvais s'aprivoiser plus serainement. :oky:
Mais un maleur arrive, on se fait viré comme des voleurs :chris: de la ferme tant convoité, avec des menaces de coup de fusil sur ma belle :-( . Allez trouvé une habitation à loué avec un cheval!!! se fut dure mais pas question de la lacher! on a démenager souvant mais toujour avec Mabelle. :clapclap:
Allez j'arrete le romant tout ça pour dire que j'ai appris à monté avec ma jument et quelle a appris a étre monté avec moi! ( j'aurais dû écrire ca directe ca aurais été plus court)
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D'où me vient l'amour des chevaux? Bonne question...je n'en sais trop rien! Deux éléments viennent témoigner un attachement au monde du cheval plus ou moins conscient...
D'un, mon arrière grand père (que je n'ai jamais connu) était maquignon...jusque là rien de bien étonnant pour l'époque...Plus troublant, on m'a rapporté que la jument qui l'a accompagné tout au long de sa carrière s'appelait Charlotte...comme moi
D'autre part, l'un de mes premiers dessins représentait un manège de chevaux...
Rien d'autres ne semblaient me prédestiner à pénétrer le monde du cheval...Ni père ni mère ne sont cavaliers...Encore moins la soeur.
Une journée de fin d'année scolaire, en grande section...une initiation au poney club local...peut être est-ce là les prémices d'une passion naissante?
Il faudra pourtant un ou deux ans avant que ma timidité vienne à bout de mes rétiscences ...C'est à l'age de 8 ans que j'accepte l'inscription au club...Me voilà alors à me brinqueballer cahin caha dans le manège sur le dos d'Asterix, Joker et autre Rêveur...une dizaine d'heures de cours puis un tour de piste au galop...une chute...la peur. Peu aventureuse, j'arrêterai là.
Il faudra attendre l'entrée au collège pour que je daigne remette les pieds dans un club...Toutes les gamines de mon âge ont déjà passé leurs premiers examens, franchissent des obstacles, tandis que moi, je panique à l'idée de faire une foulée de galop...trop axé sur la compétition, le club ne me satisfait pas...Une fois encore, j'abandonne en quelques mois!
A 13 ans, je passe des vacances à Ouistreham...la mer et ses chevaux qui galopent sur la plage me laissent songeuse! Papa m'accompagne jusqu'à l'Etrier de Riva, le petit club au bord de l'eau...L'excitation d'une balade sur la plage fait place à la déception lorsque l'on me demande si je sais galoper...et de me voir réponde par la négative... Emue et surtout l'âme commercante, la gérante me propose alors de tester le stage qui commence le lendemain...J'accepte. Je croise Laurent, le prof. D'emblée je lui annonce mon appréhension à galoper...Il rit, et me dit à la cantonnade "à la fin de la semaine, tu ne voudras plus faire que ça". Dubitative sur l'instant, je suis bien obligée d'admettre qu'il avait raison.
C'est donc sur la plage de Ouistreham, non loin des alarmes de ferrys que j'ai fait mon vrai premier galop!
Je décroche mon galop 1 à la fin de la semaine, quel exploit!
Entre temps, mes parents m'offre pour mes 12 ans, Energy...poney shetland. Il arrive à la maison à 6 mois, je sais à peine lui mettre le licol...qu'il tolère tout juste...Ensemble nous apprendrons tout, la confiance, les jeux, la complicité...Une belle aventure équestre qui s'est terminée le 23 avril 1999...3 jours avant ses 7 ans, Energy est emporté par une colique foudroyante.
J'ai bien tenté de conforter mon expérience de monte dans un 3e club...mais rebuter par l'obstacle et l'esprit de compétition, je ne poursuivrai pas.
Interne en lycée agricole, je passe mes mercredis après midi avec les chevaux...Balades dans les bois et champs me contentent.
Puis vient les années fac...Bordeaux, la ville...les études, les amours, bref la même ritournelle...Le coeur un peu lourd d'avoir perdu Energy, je ne garde l'amour du cheval que par procuration des magazines.
2002, je laisse les études et je reviens en terre normande. Je commence à travailler...et au bout de quelques mois, au lieu de passer mon permis, je succombe à une annonce sur un site...Un mérens de 5 ans, fougueux et intrépide...Qui du coeur ou de la raison l'a emporté? Jazz ou le bidet qui partage ma vie depuis vous donne la réponse!
Voilà, s'est engagé un jour de novembre 2002 un parcours chaotique de doute et de détermination! Je ne regrette rien.
Une histoire comme tant d'autres, sans avoir donné tous les détails, je suis tombée dans ce bain de boue et de bonheur qu'est la passion du cheval un peu par hasard...ou pas.
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Pour ma part je suis montée avant de savoir monté à cheval(j'ai des photos de ma pomme étant bébé avec mon oncle qui me tenait devant lui sur son cheval).J'ai grandi avec eux(mon oncle a un centre equestre).
J'ai eu mon coup de foudre vers 9 ans pour un selle français.Il etait dur,il testait beaucoup mais avec moi c'était une crème.Il adorait les fruits et quand je l'emmenais en promenade,on s'arretait sous les fruitiers et je montais sur sa selle pour cueillir des fruits que je partageais avec lui.Il est resté prés de moi 17ans et il s'est eteind(c'était comme si une part de mon enfance etait partie).
J'ai commencé la competition de bonne heure sur des shetlands puis trés vite sur des chevaux.J'ai débuté en cso,un peu de hunter et vers 14 ans je me suis dirigée vers le complet.J'ai fait de la compet jusqu'à 29ans,là ou j'ai eu un grave accident et oû ma jument est morte.J'ai arreté de monter pendant quelques années mais j'avais gardé comme tondeuse à gazon mon cheval de cso et ma shetland(je n'arrivais pas à les vendre).J'ai reussi à surmonter ma peur avec mon cheval(il mesure 1m85),petit à petit.j'avais peur des descentes et il le comprenait(on dirait),il faisait attention.Aujourd'hui,je monte comme avant(plus raide et moins camikaze).je me promène et je m'éclate autrement.J'ai initié mon fils à monter et à respecter les chevaux.je sais une seule chose,c'est que je ne pourrais jamais vivre sans en avoir un.
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J'ai découvert les chevaux à 11 ans, au Chili. Nous y avons emmenagé, et mes parents ont tout de suite acheté deux chevaux. Ils avaient fait un peu de cheval avant, mais très peu. C'était pour mon frère et moi, et au Chili à l'époque (dans les années 80), le cheval était comme le vélo chez nous. Y'en avait partout, et nous n'avons pas eu de mal à trouver un fermier chez qui les mettre. Bon, au départ ils se sont fait rouler, on leur a vendu une jument pleine, donc il a fallu changer !! :lol:
Du coup, dès qu'on sortait de l'école, on filait avec mon frère, et deux copines qui avaient aussi des chevaux, chez le fermier, et on partait se ballader dans la campagne. On était plutot casse cou, et on faisait régulièrement des courses à 4 : départ en ligne, et premier arrivé !
Bref, le bonheur.
En parralèle, pour apprendre à monter, mes parents avaient un ami lieutenant dans la garde républicaine chilienne. Donc on y allait toutes les semaines, et on montait les chevaux immenses de la garde républicaine. En plus j'étais plutot petite en taille (quant à mon frère il avait 8 ans....), c'était assez impressionnant. Ce monsieur nous a passionné pour les chevaux. Il nous faisait faire de la gymnastique sur le cheval, sauter (j'ai sauté 1 m 10, ce que je n'ai jamais refait après !!), etc
De retour en France, j'ai voulu continuer. Après quelques galères pour trouver un club correct avec un enseignement digne de ce nom, j'ai poursuivi. Mon frère a arreté. Après un an à cavaler dans la pampa chilienne, il a jamais pu se faire à monter en club et à tourner en rond dans un manège :-)
J'ai toujours le chapeau chilien en feutre à bord plat typique, et mon frère a les sabots en bois sculptés et les éperons artisanaux.
Quand j'en parle, j'ai toujours un pincement au coeur, en repensant à Alpina et Andina, nos deux juments....
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en club un peu de tout aucune competition
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Bonjour,
Alors moi j'ai commencé en club à l'âge de 4 ans. Ma grand-mère me payait des cours qu'elle car elle aurait toujours voulu monter à cheval mais n'a pas pu. A 8 ans j'ai du stopper quand ma grand-mère est décédée donc plus de financement. Je préparais mon Galop 1.
A 17 ans j'ai fais une formation qui m'a permis de faire des stages, j'ai choisi de partir vers les chevaux et j'ai remonter à cheval pendant mes stages.
Ensuite à 19 ans je me suis inscrite dans un club près de chez moi ou je suis depuis plus d'1 an maintenant.
Je monte aussi avec des amis qui ont une ferme équestre. Je commence l'endurance mais je fais surtout du dressage et du saut d'obstacles.
Je n'ai encore pas fais de compétition et pour le moment je ne compte pas acheter de cheval car celui que je monte au club est comme le mien. je souhaite juste pouvoir le racheter quand il prendra sa retraite dans une paire d'années. :D
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J'ai pas appris, je suis en train d'apprendre...ça fait plus de vingt ans, dans divers club et écuries de proprio et ce que j'aime c'est le dressage
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Moi petite je monter dans un petit centre équestre dans lequels je monter une fois par moi et encore j'suis gentille parsque mes parent venue d'un milieu trés modeste pouvais pas me payer mes leçon, suite a un gros choc j'ai cesser soudainement de monter a l'age de 10ans. Juillet 2010... Une grosse envie de faire une balade sa ma pris comme une envie de pi**er une copine a moi avais pris des leçons au centre équestre "La forêt à cheval" a Brignac La Plaine (19). J'y suis aller, et j'ai vu que le moniteur organiser des balades de nuits mais que le niveau galop 3 était exigée... Alors j'ai fait ma balade puis j'ai pris un cours pour que le moniteur m'évalue sur mon niveau... ET LA! stupéfaction! il ma dit que j'avais un bon niveau 3.... J'avais arrêter de monter a l'age de 10ans... Du coup j'ai fait balade de nuit, et puis se club hyper familiale ma donner envie d'apprendre (moi qui dester les cours par dessus tout!!!) Et aujourd'huit je garde encore les lacune de mon ancien centre équestre puisque je n'avais jamais sauter de ma vie! J'ai garder quelque dificulter pour sauter mais sa fait qu'un ans que je saute et je me déséquilibre moins, il y a que sa qui m'empêche de passer le galop 4... Donc je pense que j'ai appris avec les quelque balade que j'ai fait et le peu de cours efectuer......
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Bonjour, moi je suis une cavalière se qu'il y a de plus classique:
J'ai découvert les chevaux à l'age de 6 ans au centre aéré où j'ai monté une jolie petite shetland, j'ai adoré! et on va dire que je ne suis jamais descendue.
J'ai monté en club, j'ai passé mes galops, je participais à tous les concours de 5eme catégorie ( CSO).
A l'obtention du Galop7, j'ai eu Éloïse une jument que j'ai pris en demi pension, mais j'étais seule à la monté. Alors concours, concours et encore concours, CSO ou dressage c'était concours. Je la considérais comme la mienne et on s’entendait trés bien.
Un jour, invité chez des amis de mes parent, ils me disent qu'ils on des chevaux dont un poulain. On est allé les voir au prés, je n'est vue que des chevaux " adulte", je me suis approchée j'ai vu le soi disant le poulain de 5 ans déjà, complétement sauvage!
Les amis de mes parents mon donc proposé de m'en occupé et que si j'arrivais à la touché ils me la donnaient.
Comme toute cavalière le rêve c'est d'avoir son propre cheval. C'est donc au bout de 2 mois de patience qu'elle a eu enfin confiance en moi, je l'ai ramené au club où elle a été débourrée. C'est comme ça que j'ai eu ma jument Léa!
J'ai continué de monté Eloïse, jument expérimentée, qui m'emmenais en concours.
Donc j'ai monté mes deux jument cher a mon cœur pendant encore deux année.
Jusqu'au jour où la propriétaire d'Eloïse est apparue (et oui je ne l'avait jamais vu), par soucis d'argent elle a mis en vente Eloïse. Trop cher pour mes parents et ne pouvant pas assumé deux pension complète, je n'ai pas pue l'acheté. C'est une femme d'une soixantaine d'année, qui m'avait vue évolué en concours de dressage, qui la achetée. Elle l'a laissé au club en me disant que je pouvait toujours la monté et participé sous son accord au concours.
Elle s'est mis au dressage, puis un jour elle m'a demandé de nous inscrire a un concours d'entrainement toute les deux.
Je fessais la E1 et elle la E3 donc une petite différence de niveau, elle est arrivée 21eme sur 25, moi 2eme sur 40 participant.
Je connaissais la jument comme ma poche, elle sait mis dans une jalousie de dingue et ma interdit de la monté.
j'ai beaucoup pleuré!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
:blush:
Je me suis donc concentré sur Léa, j'ai arrêter les concours, j'ai appris a monté un poulain qui elle est a moi. Et bien, c'était du sport!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! :w00t:
Depuis, Eloïse sait mise a boité, elle n'a pas voulu la soigné car elle ne s'en sortais pas dessus et elle la mise au prés, J'ai été la voir une fois depuis 6 ans et la voyant boiteuse à patte cassée dans un coteaux ma fait mal au cœur, on conseillé de ne plus allez la voir. Je me suis promis de ne plus jamais monté un cheval qui n'est pas a moi!!!!!!! (trop sentimental)
Voilà! je n'ai plus jamais fait un concours que du trec, de la balade, du dressage pour me faire plaisir avec ma Léa d'amour!!!!!!!!
Aujourd'hui, étant installée dans une maison, avec mon mari, depuis un ans, j'ai acheté une pouliche de deux ans. Léa et elle vont venir habité à la maison le 14 juillet prochain!!!
Une nouvelle aventure commence! :cheval:
désolé je me suis lâchée!!!!!!
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Parcour assé banale qu'est le mien, je dois l'avouer :rire:
J'ai commencé à monter à cheval à 4ans, suite à une sortie au centre équestre grâce à un stage de 3jours avec le centre de loisirs. Mes parents ont vite cédés, et me voilà à la rentrée inscrite au club. Trés vite je repère mon shet' préféré : Arlequin. C'était une vraie fripouille et le chef de reprise. Je tombais toutes les semaines, une ou plusieur fois par heure mais ça ne m'a jamais refroidi, au contraire :-D Vers mes 7ans, on m'a mis dans un cours avec des ado et sur des double poneys, pendant 3ans j'ai appris pas mal de choses comme "se faire embarquer par son poney au galop", "couper les coins" etc :rire: puis l'année de mes 9ans on m'a re-changé de cours pour être avec des gens de mon âge, et j'ai eu LE coup de coeur pour un cheval pie au caractère épouvantable, Djengo. Malheureusement, à la fin de cette année, le club à été vendu et les chevaux vendus. Les nouveaux proprios ont fait faillites et le club à été fermé. Je suis partie monter dans un autre club de ma région, trés centré compétition. J'y ai monté mes premiers chevaux de proprios à l'âge de 11ans ainsi que mes premières compétitions. Entre temps, mon ancien club à ré-ouvert avec à sa tête une des anciennes monitrices qui y travaillait. Résultat je retourne dans ce club et celui ou j'étais avant ferme aussi (je dois porter la poisse :ouahhhh: ) pendant un an j'ai monté des chevaux à moitié dressés mais avec un énorme coeur, j'ai également pu continuer à faire les soins, les boxs etc, ce qui d'aprés est trés important dans l'apprentissage :rire: puis à la fin de cette année, déménagement sur le bassin d'arcachon, donc nouveaux club. Je passerai vite fait sur cette période, le club étant particulièrement nulissime :-D même si je suis tombée gaga d'une jument anglo arabe au caractère infecte :lol: . J'ai donc arrêté de monter au niveau de noël 2011 et dernièrement je suis en passe d'avoir mon propre cheval :sorciere: . désolée pour ce roman :blush:
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Je devais avoir 5/6 ans et mes parents me cherchaient une activité sympa pour les vacances... Une collègue de ma maman lui a dit avoir mis sa fille pendant 1 semaine dans un club pour faire du poney et ça fille avait adoré!!! Du coup mes parents ont pris la décision de m'y envoyer, pour 1 semaine aussi...! Et "BIINNNGGGOOOOOO!!!!!!" j'ai complétement choper le virus comme on dit...! :-D L'année qui a suivie j'ai réclamé une autre semaine de poney pour mes vacances! Après qq recherches, ma maman m'a trouvé un autre club moins chère où j'ai pu passé 2 semaines. J'étais ravie...! :clapclap: J'ai continué comme ça pendant qq années jusqu'au jour où ce club a organisé des rando d'une semaine : le bonheur!!!!! Mais le jour est arrivé où j'ai été trop grande pour ce poney-club... :crying: Mes parents n'ayant pas les moyens de me faire monter en club 1 fois/semaine, j'ai +/- arrêté de monter.... :crying: :crying: Juste de temps en temps à l'occasion mais ça ne m'a jamais quitté pour autant!! Puis un jour, j'vais en gros 18/19 ans, ma grand mère m'a emmené près de chez elle dans une association équestre pour faire une balade. L'ambiance était très convivial : j'ai tout de suite adoré!! :coeur: Du coup j'ai monté là bas qq années pendant les vacances et des fois le dimanche. Je faisais des grandes balade, seule ou avec des amies rencontrées là bas! C'était extra!!!! Puis est venu le Jour où j'ai pu me payer des cours dans un "vrai club"... Le rêve se réalisait enfin pour moi! J'ai alors monté 4 ans dans un club (passage galop 1 et 2) puis 1 an dans un autre club (l'école d'Alexandra Lédermann... :ange: ). Mes finances ne suivant plus, j'ai du arrêté... :crying: Et là j'ai trouvé un cheval en demi pension non loin de chez moi alors je sers un peu la ceinture et me revoilà à cheval!!!!!! Quasiment 25 ans après mon 1er tour de poney..... :love2:
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J'adore ce post! Parfois ça me met la larme à l'oeil.
Voici mon expérience personelle:
J'ai tanné mes parents toute mon enfance "je veux un cheval" Non, ya pas la place sur le balcon et c'est un sport de riches...
A 11 ans mon père à fini par m'emmener dans un club pour faire des ballades.
A 12 ans mon père est mort ... Je me suis raccrochée à cette passion du cheval et j'ai désiré en faire mon métier.
A 13 ans j'ai été interdite de cheval "à vie" par le kiné (sciatique)
J'ai cru que tout s'effondrait autour de moi...
A 23 ans (il y a 16 ans) j'ai rencontré Gérard qui m'a dit: "viens, je t'emmêne sur mon cheval blanc"... C'était un Mérens!
J'ai laissé tomber mes études et je suis partie en voyage avec lui. Notre voyage a duré 6 ans.
Quand je suis partie en voyage, je croyais que je savais monter à cheval.
J'ai du mettre environs 2 ans avant de comprendre que je ne savais pas vraiment monter, malgrès mon expérience, et de commencer d'apprendre vraiment.
Il y a Dix ans j'en ai fait mon métier exclusif et je continue toujours d'apprendre.
Je suis autodidacte.
J'observe énormément les autres cavaliers ou meneurs, j'ai eu beaucoup de conseils des gens que j'ai rencontré et je lis beaucoup. Gérard m'a aussi énormément appris sur la psychologie des chevaux et c'est lui qui m'a appris à voyager.
Ensuite, ce sont les chevaux qui m'expliquent le reste. J'ai beaucoup de gratitude envers eux. :coeur:
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calamity, ton histoire est aussi belle qu'originale.
Et bravo pour ta gratitude, nous ne le serons jamais assez de ce qu'ils nous apportent...
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La randonnée avec mon père, le classique en club et le western chez un ami à mon père.