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LA CHEVAUCHEE FANTASTIQUE / Genetique
« le: octobre 19, 2011, 04:18:41 pm »
pas mal du tout imperial il a l'air un peu mastoc, c'est le plus classe je trouve
- mai 13, 2024, 03:54:03 pm
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MON NOM EST PERSONNE / Mon Histoire
« le: octobre 19, 2011, 03:22:44 pm »
bonjour à tous
moi c'est Nany, 23ans, la nounou des 12 arabes de l'élevage où je suis actuellement employée.
quand j'était petite, je voulais devenir "gardeuse de vaches" parce que le jour où les vaches du voisin on cassé la cloture pour venir brouter dans notre jardin, se rafraichir dans notre piscine, bouser dans notre potager, j'ai compris que chaque troupeau avait besoin d'être surveillé, j'avais 5 ans.
à 6 ans, j'ai eu la chance d'aller passer une semaine au milieux des chevaux avec le centre aéré. Martine, la propriétaire des lieux venez nous reveiller tout les matins pour nous proposer d'aller nourir avec elle, tout le monde préférait rester au chaud sous la tente le plus longtemp possible et se reserver pour les jeux à poney... sauf moi. Dès le premier jour j'ai préféré leur donner a manger plutôt que leur monter sur le dos, et c'est là que tout a commencé.
issue d'une famille moyenne n'ayant pas les moyens de me payer des cours de poney je me contentais pendant plusieurs années des semaines de vacances la bas avec le centre aéré. puis un beau jour, j'ai pu commencer.
les chevaux et poneys de ce centre equestre vivaient tous enssembles en troupeau, toute l'année dans des dixaines d'hectares, et bien que passer des heures à les contempler en liberté, à les brosser ou encore à faire les box des chevaux des propriétaires ( qui eux n'etaient pas avec le troupeau ) me bottais, l'idée de les monter ne me parlais toujours pas plus que ça, je n'aimais pas les mise en selles, je n'aimais pas sauter, je ne voyais aucun interêt à passer les galops, tout ce qui me plaisait c'était les scéances à cru, les jeux, les balades et m'occuper d'eux.
Il y avait seulement la partie élevage où l'on avait pas le droit de s'attarder, elle était un peu à l'écart et on pouvait à peine distinguer le dos des poulinières au loin quand on montait dans le manège. j'ai été longtemp intriguée par le fait que je ne prenait pas auttant de plaisir que les autres à être à cheval. puis un beau jour je suis arrivée bien plus tôt au centre, le manège etait fermé et des cris puissants en sortait, je suis montée sur l'estrade et c'est là que j'ai vu pour la première fois en entier l'une des poulinières, en compagnie de l'étalon qui etait en train de lui faire la cour. elle etait si belle, si grande et lui si majestueux, j'en etait tellement fascinée que Martine à compris ce jour là que je voulais plus que des leçons.
elle m'a alors proposer de venir m'occuper des poulinières dès que j'en avais le temps, et qu'en contre partie je monterais gratuitement.
je leurs donnais tout et montait tout les soirs les voir.
puis un beau jour martine me proposa d'aller voir une connemara de 2 ans qu'elle avait acheté mais qu'elle ne pouvait pas encore récupérer.
Innaprochable depuis sa naissance. la propiétaire des lieux tanta une approche, mais les 20 mètres qui les séparaient devait etre trop pour la ponette qui décampa au galop en cassant au passage 2 clotures pour aller se perdre dans les bois.
on s'est séparés pour la retrouver et 3h plus tard, en basquettes dans une boue qui m'arrivait jusqu'au genoux, la pluie qui claquait contre mon front, et elle, face à moi, a 50 mètres, immobile et les yeux fixes. je savais bien que si me m'approchais plus elle risquait de partir encore plus loin, alors j'ai fais demi tour pour aller prevenir que je l'avait trouvée. arrivée en bas, je suis retournée dans le pré pour traverser jusqu'au 4x4 chercher le portable pour joindre martine. arrivée de l'autre coté, en me retournant pour refermer la cloture derrière moi je me rend compte qu'elle est là, qu'elle m'avait suivie, avec la pluie contre ma capuche je ne l'avais pas entendue. elle etait si particulière, si sauvage j'ai attendu martine qui etait sur le retour et j'en a iprofité pour rafistoller la cloture comme je pouvais parce que je ne savais pas du tout comment faire, toujours sous le regard interogateur de cette petite jument paumée. a son retour martine déduisa qu'elle ne se laisserais approcher que par moi alors qu'il fallais que je tente. je me suis accroupie au milieu du pré et il lui fallu à peine 15 minutes pour venir me renifler. l'experience à été renouvellée bien des fois jusqu'a pouvoir la ramener au club.
en pleine adolescence j'ai grandis très vite et mon poids commencais à poser problème alors je n'ai pu que débourrer cette petite pour la laisser à un cavalier plus petit et plus léger. une grande deception que je n'ai pu accepter qu'avec l'age. elle excelle maintenant en dressage amateur
Et voilà, c'est comme ça que j'ai compris que pour que je prenne du plaisir à cheval il fallais que j'ai un but, et ce but, c'était de leur apprendre.
je suis donc devenue à 11 ans l'aide de débourrage officiel du club et ai arrêtté de monter en leçon pour me consacrer uniquement au 3 ans et aux jeunes qui n'était pas encore incorporable au troupeau de chevaux de club.
après le collège j'ai décidé de partir en formation élevage équin, mes stages se faisait au même endrois et c'est à partir de là que j'ai eu au travail un cheval dont personne ne voulais. un PSA alezan qui foutais tout le monde a terre et qui n'avait donc aucun cavalier qui voulais s'en attitrer. la première fois que je suis montée dessu, je suis tombée, il faisait des changement de pieds au galop sur ce slalom ( en trec), chose que je n'avais encore jamais vécu à l'époque, et cette sensation a chaque changement de pied me faisait rire, il avait profité de ce fou rire pour m'envoyer tête la première dans le pare botte. la seconde, la troisième, la quatrième et bien plus, il essaya encore de me virer et me virer et encore me virer... mais en vain. certains disaient qu'il etait juste con, d'autres qu'il avait mal au dos, mais j'ai vite compris qu'il était juste blasé. beaucoup de travail a pied de ce coté la, je ne l'ai pas monté pendant 2 mois mais le sortait tout les jours pour faire de longues balades a pied. puis 2 ans de pur bonheur sans me faire virer une seule fois, je trouvais le fait de lui donner envie tellement enrichissant, il m'a tout appris, tout sur ce que je sais faire a cheval, mais aussi sur moi. et puis un accident a la con... je serais tombée 2 fois de se cheval, la première et la dernière, malheureusement il est tombé aussi.
et tout c'est arrêtté. il restera mon plus grand amour.
en fin de seconde année je n'ai pas eu mon bepa mais voulais partir quand même de se lycée pro qui ne me convenais pas. je me suis retrouvée dans un cfa ou j'ai suivi la formation du bac pro en alternance, avec mes semaines en entreprise dans un élevage de PRE. j'ai vu là bas tout ce que je ne voulais surtout pas faire avec les chevaux, j'ai tenu 1 an, avec des chevaux maltraités, une 2 ans martyrisée, une conduite d'élevage qui laissait clairement à désirer...
enfin... après un passage dans une autre structure dont je ne parlerais pas parce que je n'y ai rien appris pour terminer ma formation, ce nouveau maitre d'apprentissage m'a largué en plein vol 2 mois avant le passage du bac auquel je n'ai donc pas pu me présenter.
après un passage en ariège, 2 ans dans la drôme, me voilà maintenant maintenant depuis avril 2010 en ardèche dans ce petit élevage de PSA ma première mise bas sans patron a mes cotés pour m'expliquer les geste en cas de problèmes, et forcement, ma première mise bas qui se passe pas super... un petit arabe pie qui arrive de traviole... mais aujourd'hui il se porte très bien c'est le principal !
bon après ce roman qui dit juste les grandes lignes de ma " vocation " je vous remercie de m'avoir lue et au plaisir !
moi c'est Nany, 23ans, la nounou des 12 arabes de l'élevage où je suis actuellement employée.
quand j'était petite, je voulais devenir "gardeuse de vaches" parce que le jour où les vaches du voisin on cassé la cloture pour venir brouter dans notre jardin, se rafraichir dans notre piscine, bouser dans notre potager, j'ai compris que chaque troupeau avait besoin d'être surveillé, j'avais 5 ans.
à 6 ans, j'ai eu la chance d'aller passer une semaine au milieux des chevaux avec le centre aéré. Martine, la propriétaire des lieux venez nous reveiller tout les matins pour nous proposer d'aller nourir avec elle, tout le monde préférait rester au chaud sous la tente le plus longtemp possible et se reserver pour les jeux à poney... sauf moi. Dès le premier jour j'ai préféré leur donner a manger plutôt que leur monter sur le dos, et c'est là que tout a commencé.
issue d'une famille moyenne n'ayant pas les moyens de me payer des cours de poney je me contentais pendant plusieurs années des semaines de vacances la bas avec le centre aéré. puis un beau jour, j'ai pu commencer.
les chevaux et poneys de ce centre equestre vivaient tous enssembles en troupeau, toute l'année dans des dixaines d'hectares, et bien que passer des heures à les contempler en liberté, à les brosser ou encore à faire les box des chevaux des propriétaires ( qui eux n'etaient pas avec le troupeau ) me bottais, l'idée de les monter ne me parlais toujours pas plus que ça, je n'aimais pas les mise en selles, je n'aimais pas sauter, je ne voyais aucun interêt à passer les galops, tout ce qui me plaisait c'était les scéances à cru, les jeux, les balades et m'occuper d'eux.
Il y avait seulement la partie élevage où l'on avait pas le droit de s'attarder, elle était un peu à l'écart et on pouvait à peine distinguer le dos des poulinières au loin quand on montait dans le manège. j'ai été longtemp intriguée par le fait que je ne prenait pas auttant de plaisir que les autres à être à cheval. puis un beau jour je suis arrivée bien plus tôt au centre, le manège etait fermé et des cris puissants en sortait, je suis montée sur l'estrade et c'est là que j'ai vu pour la première fois en entier l'une des poulinières, en compagnie de l'étalon qui etait en train de lui faire la cour. elle etait si belle, si grande et lui si majestueux, j'en etait tellement fascinée que Martine à compris ce jour là que je voulais plus que des leçons.
elle m'a alors proposer de venir m'occuper des poulinières dès que j'en avais le temps, et qu'en contre partie je monterais gratuitement.
je leurs donnais tout et montait tout les soirs les voir.
puis un beau jour martine me proposa d'aller voir une connemara de 2 ans qu'elle avait acheté mais qu'elle ne pouvait pas encore récupérer.
Innaprochable depuis sa naissance. la propiétaire des lieux tanta une approche, mais les 20 mètres qui les séparaient devait etre trop pour la ponette qui décampa au galop en cassant au passage 2 clotures pour aller se perdre dans les bois.
on s'est séparés pour la retrouver et 3h plus tard, en basquettes dans une boue qui m'arrivait jusqu'au genoux, la pluie qui claquait contre mon front, et elle, face à moi, a 50 mètres, immobile et les yeux fixes. je savais bien que si me m'approchais plus elle risquait de partir encore plus loin, alors j'ai fais demi tour pour aller prevenir que je l'avait trouvée. arrivée en bas, je suis retournée dans le pré pour traverser jusqu'au 4x4 chercher le portable pour joindre martine. arrivée de l'autre coté, en me retournant pour refermer la cloture derrière moi je me rend compte qu'elle est là, qu'elle m'avait suivie, avec la pluie contre ma capuche je ne l'avais pas entendue. elle etait si particulière, si sauvage j'ai attendu martine qui etait sur le retour et j'en a iprofité pour rafistoller la cloture comme je pouvais parce que je ne savais pas du tout comment faire, toujours sous le regard interogateur de cette petite jument paumée. a son retour martine déduisa qu'elle ne se laisserais approcher que par moi alors qu'il fallais que je tente. je me suis accroupie au milieu du pré et il lui fallu à peine 15 minutes pour venir me renifler. l'experience à été renouvellée bien des fois jusqu'a pouvoir la ramener au club.
en pleine adolescence j'ai grandis très vite et mon poids commencais à poser problème alors je n'ai pu que débourrer cette petite pour la laisser à un cavalier plus petit et plus léger. une grande deception que je n'ai pu accepter qu'avec l'age. elle excelle maintenant en dressage amateur
Et voilà, c'est comme ça que j'ai compris que pour que je prenne du plaisir à cheval il fallais que j'ai un but, et ce but, c'était de leur apprendre.
je suis donc devenue à 11 ans l'aide de débourrage officiel du club et ai arrêtté de monter en leçon pour me consacrer uniquement au 3 ans et aux jeunes qui n'était pas encore incorporable au troupeau de chevaux de club.
après le collège j'ai décidé de partir en formation élevage équin, mes stages se faisait au même endrois et c'est à partir de là que j'ai eu au travail un cheval dont personne ne voulais. un PSA alezan qui foutais tout le monde a terre et qui n'avait donc aucun cavalier qui voulais s'en attitrer. la première fois que je suis montée dessu, je suis tombée, il faisait des changement de pieds au galop sur ce slalom ( en trec), chose que je n'avais encore jamais vécu à l'époque, et cette sensation a chaque changement de pied me faisait rire, il avait profité de ce fou rire pour m'envoyer tête la première dans le pare botte. la seconde, la troisième, la quatrième et bien plus, il essaya encore de me virer et me virer et encore me virer... mais en vain. certains disaient qu'il etait juste con, d'autres qu'il avait mal au dos, mais j'ai vite compris qu'il était juste blasé. beaucoup de travail a pied de ce coté la, je ne l'ai pas monté pendant 2 mois mais le sortait tout les jours pour faire de longues balades a pied. puis 2 ans de pur bonheur sans me faire virer une seule fois, je trouvais le fait de lui donner envie tellement enrichissant, il m'a tout appris, tout sur ce que je sais faire a cheval, mais aussi sur moi. et puis un accident a la con... je serais tombée 2 fois de se cheval, la première et la dernière, malheureusement il est tombé aussi.
et tout c'est arrêtté. il restera mon plus grand amour.
en fin de seconde année je n'ai pas eu mon bepa mais voulais partir quand même de se lycée pro qui ne me convenais pas. je me suis retrouvée dans un cfa ou j'ai suivi la formation du bac pro en alternance, avec mes semaines en entreprise dans un élevage de PRE. j'ai vu là bas tout ce que je ne voulais surtout pas faire avec les chevaux, j'ai tenu 1 an, avec des chevaux maltraités, une 2 ans martyrisée, une conduite d'élevage qui laissait clairement à désirer...
enfin... après un passage dans une autre structure dont je ne parlerais pas parce que je n'y ai rien appris pour terminer ma formation, ce nouveau maitre d'apprentissage m'a largué en plein vol 2 mois avant le passage du bac auquel je n'ai donc pas pu me présenter.
après un passage en ariège, 2 ans dans la drôme, me voilà maintenant maintenant depuis avril 2010 en ardèche dans ce petit élevage de PSA
ma première mise bas sans patron a mes cotés pour m'expliquer les geste en cas de problèmes, et forcement, ma première mise bas qui se passe pas super... un petit arabe pie qui arrive de traviole... mais aujourd'hui il se porte très bien c'est le principal !bon après ce roman qui dit juste les grandes lignes de ma " vocation " je vous remercie de m'avoir lue et au plaisir !
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LA CHEVAUCHEE FANTASTIQUE / Genetique
« le: octobre 19, 2011, 12:40:50 pm »
si tu veux j'ai un étalon psa noir homozygote dans l'elevage ou je bosse je ne sais pas où tu te situe, lui il est en ardèche limitrophe drôme, la station de monte se trouve en drôme mais pas de monte naturelle, c'est insemination directe.
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RACES DE CHEVAUX / Les Quarabs
« le: octobre 19, 2011, 10:06:10 am »Citation de: "pharas"
Fantasize est où exactement ? car j'ai perdu sa trace il a 3 ans ! c'est un très bel étalon !pharas, Fantasize se trouve maintenant en ardèche