le soucis de la cortisone, c'est qu'il faut surveiller de prêt l'alimentation car le cheval peut soit grossir soit développer un risque de fourbure conséquent.
De plus, à plus ou moins long terme, il y a accoutumance et il va falloir augmenter les doses régulièrement. Et puis, la cortisone, ça n'apportera qu'un soulagement temporaire. Que se passera-t-il au moment où il faudra la stopper pour quelque raison que ce soit
Je me suis bien documentée depuis 2 ans que je suis confrontée à la gratte (car au début je pensais aussi dermite), j'ai beaucoup parlé du problème avec des vétos, des magnétiseurs, des homéopathes, des médecins, des pharmaciens, j'ai lu beaucoup de choses sur le net et il en ressort que les vétos qui prônent l'utilisation de la cortisone sont ceux qui n'ont pas vraiment envie de s'enquiquiner car il n'y a pas de solution miracle ! Alors, on fait plaisir au client...
Par contre, toutes les solutions autres pour soulager ne sont pas à négliger. En juillet, par exemple, une spécialiste du shiatsu équin doit venir, qui est prête à tenter une expérience sur mon "cas d'école". Elle va analyser les causes possibles d'un tel soucis et, selon elle, ce serait peut-être dû à un gros stress que Talya aurait vêcu alors qu'elle était encore petite. Nous travaillerons également sur l'assimilation de la nourriture et son environnement.
Il nous restera encore le magnétisuer si tout cela ne fonctionne pas.
Je dois dire que nous passons régulièrement par des phases de découragement très très profond avec mon mari car nous avons mal au coeur pour elle ! Mais elle est tellement gentille qu'elle mérite tous nos efforts...
oclaire
oclaire