Rapport éthologie, entier, hongre, tout ça?
En voilà un beau débat stérile! Pour les hippies qui aiment ne pas toucher à la nature, autant ne pas monter.
Pour ceux qui montent à cheval et ont le niveau pour gérer un entier, qu'ils le gardent couillu s'ils le veulent, tant qu'ils le gèrent et qu'ils préservent la sécurité des autres avant la leur (ça s'appelle la responsabilité).
Pour tous les autres, qui veulent se faire plaisir sans s'emmerder (mais sans pour autant oublier de respecter l'intégrité de leurs chevaux - autre que leur paire d'attributs mâles), autant leur "f*utre les c*uilles par terre", histoire que le cheval puisse avoir une vie de cheval, en société avec les autres, que ce soit en carrière, au pré, en rando, en concours...
Certes, c'est toujours le cavalier qui a un problème et rarement le cheval, mais d'un point de vue de cavalière, je refuse de me créer des problèmes. Donc mon cheval, s'il a un zizi et pas une zézette, n'aura pas les cacahuètes qui vont avec
(sauf s'il est gentil, à savoir qu'il ne pose AUCUN problème et qu'il a un pedigree de ouf et transmet bien à sa production. Ce serait dommage de perdre une valeur sûre en terme d'élevage...) (mais ça c'est quand j'aurais les moyens d'avoir une structure où l'on peut garder un entier) (donc c'est pas demain la veille) (donc j'aurai probablement un hongre ou une jument avant, et probablement jamais d'entier non plus...)
Ah et qu'on me ressorte pas l'exemple de l'Espagne où tous les entiers cohabitent tous avec gaité et bonne humeur dans des centres équestres où les cavaliers même débutants montent tous des entiers. Dans le genre "flan" j'ai rarement entendu/lu mieux. Parce qu'en terme """""d'éthologie""""" (notez les 50 guillemets), pas sûre que ce mythe soit un exemple...