Je trouve ça aussi un peu vain. C'est... pfffff. Motivé par les thunes, les thunes, les thunes... En plus, je ne sais pas, mais au bout d'un moment, n'y a t-il pas un risque d'un appauvrissement génétique ? Dans le sens où les saillies ne sont plus assurées que par des copies de copies de copies de toujours les mêmes chevaux ?
Je sais qu'à propos de l'élevage bovin, aux Etats-Unis, ils s'orientent vers des élevages de clones de "toujours la même bête excellente", sous le prétexte qu'on est sûr de la qualité de la viande, vu que c'est toujours la même qui revient. Ou la même qualité de lait.
En fait, c'est l'appauvrissement génétique qui me fait le plus tiquer. C'est un éternel renouvellement. Et d'une certaine manière, cela bloque, ou ralentis un truc super important, et même complètement indispensable à la survie d'une espèce, qu'elle soit animale ou végétale et qui est : l'
évolution ! Avec les clones, on reste coincés. Donc, finalement, on revient au thème abordé dans l'article, ce qui est trés paradoxal : l'élevage cul-de-sac ! En voulant éviter l'élevage cul-de-sac vu que le patrimoine des hongres est perdu... on retombe dans un danger cul-de-sac, mais qui concerne la race équine de compétition dans sa globalité (parce que je ne pense pas que les valeureux cocktails des prés se retrouvent affublé d'un lot de pères communs à tous ! Sacrés cocktails, ils seront peut-être, dans un futur futriste, la dernière chance des chevaux, les derniers conquérants, ceux qui pourront sauver la race... il y a un roman à écrire, ma foi... je vais garder l'idée dans un coin, sait-on jamais...

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Finalement, le pire, ça serait une généralisation de ce système. Surtout quand on ne connait pas encore totalement comment vieillissent ces produits de laboratoire...