Les enrênements doivent avant tout être utilisés dans le bons sens et premièrement dans la décontraction.
Si le cheval s'appuie et ne cède pas, il se produit l'effet contraire. Il lutte contre l'enrênement quel qu'il soit et ensuite il se muscle de la seule manière dont on voulait le corriger.
Je m'explique, si l'enrênement oblige à baisser la tête. Le cheval qui ne cède passe tend ses muscles en direction du relevé de sa tête et ensuite, en l'absence de l'enrênement, l'effet contraire se produit.
L'idéal est d'utiliser un enrênement commandé lorsque monté, votre cheval cède, vous cèdez également toute action d'enrênement.
- Les rênes allemandes avec beaucoup de tact sur quelques foulées et ensuite en attente. A utiliser latéralement.
- Le chambon, le gogue
Seuls les mouvements acceptés et non subis peuvent donner des résultats. Tant que le chaval n'a pas les dispositions physiques ou mentales pour faire ce qu'on lui demande, en le forçant on approche de la barbarie. (sic)
Le résultat dépend plus de la rapidité du cavalier à cèder immédiatement lorsqu'il obtient satisfaction.