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Périples à Cheval!
Clafoutis Bis:
C'est ce que j'apprécie en Slovénie c'est cette nature encore préservée ... Surtout aprés la Roumanie le contraste est :ermm: , hum... Frappant pour ne pas dire pire :lol:
Mais comme toi Cyrene et comme beaucoup, nous nous contentons de partir quelques jours lors des vacances scolaires, dans des sortes de parenthéses de moments volés, tout en rêvant à plus et plus loin... :blush:
Et parfois le rêve se transforme en roman... Mais c'est une autre histoire hein :stuart:
calamitymag:
Bah! Il n't a que quand on perd ses rêves qu'ils ne peuvent pas se réaliser.
calamitymag:
JE DIRAIS MEME QUE QUAND ON PERD SES REVES ON A TOUT PERDU!
calamitymag:
iberikfreak:
Magnifique post, que je n'avais jamais lu!
Je me retrouve bcp dans ces échanges, sauf que je suis à pied.
Les techniques sont proches de la MUL (marche ultra légère, n'emporter que l'essentiel, s'alléger au maximum; emporter ce dont on a strictement besoin, pas ce dont on a envie).
J'avoue que je suis moins roots que Magali, je privilégie du matos hyper technique et donc très léger et résistant, performant sur l'isolation thermique notamment.
Il faut dire qu'à pieds, on ne peut guère porter plus de 8/10 kg... Apprendre à supporter le froid, la faim, la soif (le pire!).
Mais le bonheur de se réjouir d'un rien. De vivre DANS la nature, d'en faire partie. De se purger de toute cette surconsommation qui nous rend de plus en plus insatisfaits.
Sentir ses muscles fonctionner, avoir conscience qu'ils existent, que l'on respire.
Ne plus prendre la pluie et le vent comme des plaies, mais juste comme un évènement de la journée, apprendre à les apprécier.
Laisser la nature reprendre ses droits, et s'y adapter. Le froid, la chaleur, la pluie, le vent, le jour, l'obscurité, tout cela n'a plus aucune importance, c'est juste la vie, et la principale richesse de ces voyages... le temps.
Le temps ne compte plus. Plus de montre. Plus de précipitation ni de stress.
Avancer, respirer, manger, boire, dormir. Rencontrer.
Et dans cette solutide, dans ce dépouillement, la rencontre prend une toute autre dimension.
L'échange devient un trésor inestimable.
Et ces rencontres là vous batissent, vous forgent, et vous changent à jamais.
Voyage intérieur... voyage extérieur... je crois que lorsqu'on a commencé, le voyage ne se termine jamais...
A bientot sur les routes... à pied, à cheval ou en vélo, peu importe.
Le voyage lent... nomadisme d'une semaine, d'un mois, d'un an ou d'une vie... bonheur à qui pourra le vivre.
Le courageux n'est pas celui qui part... c'est celui qui reste dans son quotidien qui ne lui convient pas sans vivre ses rêves (pour ceux qui rêvent de voyage!)... quel courage d'endurer tout cela!
:-o
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