Equitation - Cheval > LA CHEVAUCHEE FANTASTIQUE
Western + Classic
grain de sel:
Buck, mon prof de dressage a été formé par Philippe Karl, et il m'a appris à demander le galop exactement comme ce que tu décris : ma jambe intérieure ne sert qu'à éviter que le cheval tombe sur l'épaule, je me contente de la laisser en place, mais je ne demande rien avec elle : c'est bien avec la jambe extérieure que je demande le départ. (Poids du corps à l'extérieur également.) Après avoir lu quelques livres de Philippe Karl, j'ai compris qu'il procède de cette façon là, effectivement par rapport au mécanisme du galop.
Avant de travailler avec ce prof, j'avais appris la méthode "moderne", il a fallu qu'on s'entraîne assez longtemps, mais maintenant, ça me semble bien plus naturel comme ça ! Mon seul souci restant l'impulsion...
Fandango:
--- Citer ---Effectivement j'ai appris avec une demande de la jambe intérieure. La jambe extérieure n'étant la que si les hanches dérapent.
Ceci dit c'est encore mieux à l'assiette ya pas besoin d'action de jambe
J'essayerai pour voir demain ce que ca donne en donnant l'impulsion avec la jambe extérieure.
--- Fin de citation ---
J'ai appris cette méthods il ya plus de 20 ans, je ne suis pas sûre qu'elle soit moderne...
La jambe extérieure contrôle les hancs, la jambe intérieure donne l'impulsion.
c'est éventuellement le placement de la rêne intérieure qui canalise les épaules (rêne légèrement relevée par rapport à la rêne extérieure).
Maintenant, je pars à l'assiette, même à l'intention. Mon cheval ne partira pas avec ces aides, je ne les lui ai jamais apprises.
Je me dis "on galoppe ?" Et il prend le départ, du pas (c'est un jeune trotteur), en ballade (pas de carrière).
Celui qui a la chance de monter seul un cheval développe avec lui des codes très fins, souvent sans s'en rendre compte, où la confiance a sa place.
pomme de pin:
--- Citation de: "Fandango" ---Maintenant, je pars à l'assiette, même à l'intention. Mon cheval ne partira pas avec ces aides, je ne les lui ai jamais apprises.
Je me dis "on galoppe ?" Et il prend le départ, du pas (c'est un jeune trotteur), en ballade (pas de carrière).
Celui qui a la chance de monter seul un cheval développe avec lui des codes très fins, souvent sans s'en rendre compte, où la confiance a sa place.
--- Fin de citation ---
Ben voilà, moi aussi je crois que j'en suis un peu rendue là...
Même ma jeune trotouillette que je n'avais pas encore travaillée pour le galop, et surtout pas en balade car là elle accélérait le trot "en vrac", me fait la délicieuse surprise depuis quelques semaines de partir au galop, sur le bon pied, seulement parce que mon assiette "se place suivant mon intention" (je ne sais pas comment expliquer autrement) + un appel de langue... Je ne suis pas sûre que ça marcherait aussi bien en plaçant mes aides de manière "académique"
C'est bien le même constat que toi, Fandango : c'est comme si ça correspondait à la compréhension d'un code, plutôt qu'au résultat d'un positionnement physique dont découlerait mécaniquement le départ au galop.
Buckaroo:
C'est toujours un code, jamais un positionnement physique. Un cheval ne nait pas dressé pour ces aides là, on lui apprend ce code par convention c'est tout.
Aucune aide ne peut contraindre un cheval à prendre le galop. Et sur les poulains j'apprends d'abord à galoper avant d'apprendre les aides.
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