Bonsoir ,
Je suis nouveau sur ce site , pour seulement vous décrire mon désappointement en ce qui concerne la moralité de certains vétérinaires...
Je sais que peu de gens seront d'accord avec moi mais il est important de dénoncer toutes ces magouilles afin de ne pas envenimer le monde du Cheval.
Merci de lire la lettre que je vais envoyer à l'ordre des médecins vétérinaires après avoir reçu la facture de ces derniers actes...
J'aime trop mon Cheval , c'était mon enfant , pour ne pas dénoncer cette grave erreur.
Je n'ai plus rien à perdre maintenant...
Madame , Monsieur,
J'ai trop de chagrin pour ne pas en parler , je souhaite que nécessaire soit fait contre certains mauvais traitements.
En octobre 2010,j'ai hébergé un cheval de selle Français provenant d'un organisme ,la Fondation Assistance aux Animaux,
après la perte de la Jument Lady Irish , selle Français à lâge de trente quatre ans. ,compagne de Talisman.
Ce cheval "A Coeur Joie " était âgé de vingt et un ans et présentait quelques petits problèmes bénins à son arrivée , lesquels je me suis empressé
de faire corriger.
Le Huit janvier deux mille douze, j'ai sû appeler le véto pour mon cheval qui avait un mauvais comportement et ne mangeait plus,
on m'a envoyer une jeune vétérinaire qui a ausculté mon cheval et lui a injecté des calmants et tranquillisants, avant de le "fouiller,
pour découvrir qu'il faisait une colique .Il a été mis sous perfusion et plusieurs médicaments lui ont été injectés.
Il est resté au box toute la nuit , et le lendemain , la jeune véto est revenue et l'a mis à nouveau sous perfusion .
j'ai dû le surveiller cette nuit à plusieurs reprises.
A Coeur Joie n'allait pas vraiment bien , depuis la veille il ne s'est pas couché ,
Je ne me souviens plus de l'heure exacte , je suis allé téléphoner , lorsque je suis parti , A Coeur Joie était debout dans le box et quand je suis revenu , il était couché devant le box , après que ce véto ait pratiqué l'euthanasie , sans même m'avoir demandé le consentement ,
je crois qu'il y a eu faute mais là déjà je n'avais pas de témoin à côté de moi et puis quoi dire , les réponses auraient été choisies en fonction du moment, j'étais choqué de ce comportement.
Maintenant c'est pour mon Talisman que ce problème réapparaît
Mon Cheval Talisman , selle Français , vivait normalement au pré depuis quatorze années que nous sommes arrivés en Normandie .
Il allait avoir vingt neuf ans !
J'ai contacté à plusieurs occasions depuis plusieurs années , le vétérinaire pour des problèmes urinaires ,Talisman avait des pertes et ne parvenait pas à bien uriner,
on me répondait chaque fois que l'on ne pouvait rien faire , "c'était l'âge...
Dernièrement , le seize avril quatorze , il a gratté le sol de son pied antérieur , j'ai aussitôt pensé à une colique,
j'ai donc appelé le cabinet vétérinaire, on m'a envoyé une jeune femme (enceinte) pour soigner mon Talisman qui ne s'est pas couché jusqu'alors.
cette femme a ausculté mon cheval puis lui a injecté un tranquillisant pour le fouiller et connaître la raison de cette colique qui m'a-t-elle précisé avait
les symptômes d'une colique "urinaire !
J'ai demandé à cette personne que le tranquillisant ne soit pas trop fort vu l'âge de Talisman.
Elle l'a donc " fouillé et a remarqué d'après elle , un caillou de quinze centimètres de diamètre environ , durant cet examen Talisman est resté debout , en chancelant parfois,
mais il ne s'est pas couché.
Elle a continué son examen , puis elle est partie en me faisant les recommandations nécessaires et est revenue le lendemain.
Tout allait mieux.
J'allais voir Talisman chaque nuit à vingt trois heures et le matin à quatre heures et chaque fois il était à l'autre extrémité du pré (trois hectares) car des chevreaux lui tenaient compagnie très souvent la nuit ...
Il s'est passé deux semaines , et le dimanche quatre mai au matin , j'ai appelé Talisman qui était au pré , afin qu'il vienne dans son abri
pour manger son mashe que je lui donnais matin et soir de chaque jour, à sept heures le matin et dix sept heures le soir.
Il est arrivé au petit trot comme d'habitude , a pris son mashe puis quelques instants après est sorti et a représenté des symptômes plus prononcés que la fois précédente ,
il a marché , s'est couché plusieurs fois mais se relevait après sans problèmes .
J'ai donc contacté le véto aussitôt qui est arrivé très tard avant midi,
le véto (pas la même personne)à ausculté Talisman et a lui aussi pratiqué un sondage après l'avoir tranquillisé,
j'ai bien sur demandé à ce que ce ne soit pas trop fort, mais quelques secondes après avoir injecté le tranquillisant Talisman s'est effondré sans même avoir
plié ses postérieurs.
Le véto a sondé Talisman et a remarqué lui aussi ce caillou de la grosseur d'une orange , il a donc tubé pour vider la vessie , puis m'a dit que Talisman se relèverait
environ une heure après , et qu'il "fabriquerait un tube plus court car celui avec lequel il a vidé la vessie était trop long , il est donc parti.
Une heure trente plus tard, Talisman ne pouvait pas se relever , après avoir contacter le véto on m'a répondu que c'était normal chaque cheval ne réagissait pas
pareil aux tranquillisants.
Une heure ensuite même problème , Talisman ne se relevait pas bien qu'il essayait , j'ai rappelé le véto qui m'a dit d'attendre encore.
Trois heures se sont écoulées et mon Talisman ne pouvait pas se relever...
j'ai rappelé le véto qui n'a pas su trop quoi me répondre , il est venu quelques temps après avec une autre personne .
Nous avons tourné Talisman afin d'essayer de le relever avec une corde attachée à son licol ,
Talisman s'est levé par moitié puis s'est effondré à nouveau.
J'ai posé la question au véto pour savoir s'il n'y avait pas d'autre moyen pour le relever , mais il m'a répondu que c'était la fin ,
il m'a prétexté des symptômes que je ne connaissais pas à mon Talisman , depuis vingt neuf années que nous vivions ensemble ,
il m'a posé la question fatale , mais j'étais en état de choc , j'ai donc accepté ne sachant que dire et que faire , contre tous ces "beaux mots et phrases
que l'on vous lance à la face en de telle occasion.
J'ai tout laissé pour mon Talisman toutes ces années , pour qu' enfin un vétérinaire de campagne le "tue , car je pense que ce véto savait ce qu'il faisait en administrant ce tranquillisant .
Il l' a traité de saloperie lors de l'une de ses précédents visites , je n'ai pas oublié , même à soixante douze ans , j'ai bonne mémoire
et croyez que si j'en avais les moyens et des preuves , je porterais plainte contre ce véto , mais je n'ai que ma bonne foi en témoignage
J'ai beaucoup de peine , je vis seul et n'avais que mon Cheval pour la grande complicité et l'amour que nous partagions...
Je sais que personne ne fera rien contre ces mauvais traitements , mais mon chagrin est trop lourd pour garder cela pour moi.
Et si c'est trop tard pour mon Talisman , il y a beaucoup d'autres chevaux pour qui il est encore temps de préserver la santé...et le respect!
J'envoie une copie de cette lettre à trente millions d'amis , à la fondation Brigitte Bardot et plusieurs organismes de chevaux.
Il n'y a pas que l'argent qui compte sur notre terre , l'amour est plus important mais
certains hommes n'ont pas compris.
Si j'en avait les moyens je porterais plainte contre ces personnes , mais à quoi bon , c'est le pot de fer contre le pot de terre ...
Merci , Madame , Monsieur , pour la lecture ce cette lettre ,
croyez en mes sentiments respectueux.
Michel Reibel
"Pharmacie.
Sans préjudice des sanctions pénales éventuellement encourues, la méconnaissance par un vétérinaire des dispositions du code de la santé publique relatives à l'exercice de la pharmacie peut donner lieu à des poursuites disciplinaires.
Le vétérinaire ne doit pas, par quelque procédé ou moyen que ce soit, inciter ses clients à une utilisation abusive de médicaments.
Il doit participer activement à la pharmacovigilance vétérinaire dans les conditions prévues par le code de la santé publique.
Article R242-46 (Décret n°2003-967 du 9 octobre 2003)
Dans tous les cas, il est interdit au vétérinaire d'établir un diagnostic vétérinaire sans avoir au préalable procédé au rassemblement des commémoratifs nécessaires et sans avoir procédé aux examens indispensables.
