Reiner, j'ai une question. J'ai lu vos interventions, dix pages plus haut (vais pas tout lire je crois), ou vous justifiez le comportement de Craig S. par l'efficacité et donc la fermeté.
Quand, de l'extérieur, on découvre les mors western, on est souvent choqué par la dureté de ces mors, très fins (parfois a peine plus épais qu'un fil de fer barbelé) et a branche. Là, on nous explique que le mors western progresse avec le niveau du cheval, et que le principe, c'est en fait de ne pas y toucher. Le cheval est censé savoir que ça fait très mal, et suffisemment avancé dans son dressage pour ne pas y toucher, ou y revenir si besoin est (concept que pour ma part, je conçois tout à fait).
Ce monsieur C.S étant un grand compétiteur, je suppose que l'on peut en déduire qu'il a un mors western "efficace" pour un cheval très bien dressé.
Est il faux donc d'en déduire que les manchettes qu'il fait sont très douloureuses ?
Et si oui, on constate (là il suffit de regarder) qu'elles sont très nombreuses.
Ce qui signifie donc que le cavalier inflige un "pain" à son cheval toutes les dix secondes (à vérifier, mais je ne dois pas être loin du compte).
Si c'est le cas, comment ne pas condamner ce comportement ? Et si vous le justifiez par l'efficacité, comment voulez vous qu'on ne prenne pas l'EW pour une équitation de brute ?
Parce que oui, comme dit plus haut, y a des salopperies dans toutes les disciplines, mais quand un saloppard met des pointes dans les guetres de son cheval pour qu'il saute plus haut, on a tous envie de lui en mettre dans son calcif, on ne dit pas que la fin justifie les moyens.
Parce que là, c'est ce que je comprends dans votre discours : que la fin justifie les moyens.
Est ce ça que vous affirmez ? J'espère bien que non, et en tout cas j'espère que vous répondrez.