Ben,
je m'occupe d'une association de cavaliers, depuis 12 ans maintenant, çà passe vite. Nous avons un trentaine de licenciés, un potentiel d'une centaine de cavaliers participants.
La grande difficulté, comme tu l'a annoncé est de faire vivre l'association.
En effet, ce sont toujours les mêmes qui font.
Le pire est qu'en faisant tu t'attire les foudres de ceux qui ne font rien, qui auraient aimé faire autrement, .....
Y'a des cycles: des moments d'engouement des cavaliers pour le collectif, et de retour au role de consommateur.
Pour les subventions, c'est pas si simple. A moins de revendiquer un grand nombre d'adhérents ou une activité économique substentielle, il est difficile d'amener des collectivités territoriales à investir quelques centaines de milliers d'Euros pour une activité portant encore une image "aristocratique".
L'autre frein: la présence de pro pouvant estimer que c'est une concurrence.
Bon, qui ne tente rien, n'a rien.
Du coup ton message me remotive à re-activer les choses par chez moi!
Par contre dans mon coin, l'association à permis la "non fermeture" de quelques chemins aux cavaliers.
Un aspect est aujourd'hui trés important:
la responsabilité civile et pénale du dirigeant de l'association, et l'assurance de celle-ci.