oui, en farfouillant un peu on en apprend un peu plus : il y a eu une révolution si on peut dire dans les abattoirs; les chevaux doivent être pucé, identifié et disposer d'un carnet sanitaire (ce qui complique la tâche des sauveteurs de la misère car le coût pour accèder aux abattoir est parfois plus cher que le prix de vente d'une saucisse à sabots : ils doivent s'adresser directement aux marchands ou attendre un bouche à oreille).
Les "poulains viandeux", à la différence des chevaux de selle ou de particuliers, ne sont identifié que dès leur 1 an et partent aussi en majorité pour les abattoirs italiens... J'espère éviter ça car je doute d'avoir l'estomac assez solide pour n'en ramener qu'un... donc, je compte m'adresser directement aux éleveurs pour la viande ou autre. Je m'établis un carnet d'adresses et de contacts pour tomber sur un éleveur honnête, garantir un bon poulain en bonne santé et trouver mon bonheur en bleu. Quand je dis pourquoi je veux un lourd et dans quelles conditions il vivra, je suis bien acceuillie, j'espère que ça continuera.
Magali : les comtois que j'ai pu "rencontrer" (via les éleveurs par telephone ou photo) sont tous les alezans classiques. Un noir aux crins blonds ça doit aussi en jetter mais le comtois se développe très doucement en Belgique, je doute qu'ils soient déjà dans les "coloris originbaux".
Pq dis tu que le bleu est un très bon choix au fait ?