Equitation - Cheval > COMPORTEMENT ET EDUCATION DU CHEVAL

Ce Que ça Fait...

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Colomba:
 Tu as deux gros problèmes :

1) L'identification a ton cheval. Tu as clairement peur d'être castré : je te renvoie à Freud et te conseille de consulter rapidement (si ce n'est déjà fait). Aurais tu besoin de te rassurer sur ton propre appareil génital ?

2) Ton problème psychologique lié à la castration fait de toi un danger puisque tu en es à proner de ne pas castrer les chevaux. Discours totalement irresponsable.

fincolivier:
  :blink: interessant tout ça...

À croire qu`une culture équestre va dans le sens: on garde tout les chevaux entiers et on castre ceux qui sont vraiment ingérables...
Et une autre culture équestre qui va plutot vers: on castre tout les chevaux, et on garde entier ceux qui vont reproduire...

Si je ne m`abuse, il y aurait une culture équestre qui prends en considération le mental des chevaux, au détriment parfois de la morphologie
Et une autre qui prends en considération surtout la morphologie, au détriment parfois du mental...

Enfin, moi je dis ça, mais en même temps je dis rien hein...

En ayant quelques entiers à la maison, je suis quand même plus souvent confrontés à des problèmes d`éducation des cavaliers que d`éducation des chevaux...


--- Citer ---Déjà que plus de la moitié des proprios de chevaux n'arrivent pas à gèrer une jument ou un hongre, alors gérer un entier avec ses couilles (qui le travaillent ou non), je pense que c'est se mettre des complications supplémentaires....
--- Fin de citation ---

Ah bon... Moi je dirais que c`est juste le devoir de bien respecter des rêgles de bases, qui ne sont pas toujours drôles, d`où la solution de facilité.

thierry:
 ben,

castrez, ne castrer pas , faite comme bon vous semble, mais soyez responsables de vos chevaux, pour eux, pour vous, pour votre entourage!


- sur les quelques entiers que je cottoie, 3 sur 4 appartiennent à une cavalière
- lors de nos rencontres, un seul ne pose pas de souci aux autres cavaliers. Ce cheval est un reproducteur.

Je ne vais pas me lancer à mon tour dans la psychanalyse malfaite par ordinateur interposé. Je vais simplement rester intérrogatif sur la vraie motivation du cavalier à garder un cheval entier.
J'entends plusieurs motifs, qui me paraissent selon la personne, plus ou moins "vrais"
- je voudrais qu'il reproduise
- c'est cruel de castrer
- un entier c'est plus ci, c'est plus çà.

Mais lorsque l'on va plus loin dans l'écoute de ces même cavaliers, un motif caché ou non avoué ressurgi: le flambe, le regard des autres. Certains semble convaincus que montant un entier les améne, dans le regard des autres, dans les hautes sphéres des sachants.

Après tout, c'est une qu^te comme une autre!
A condition:
- d'être conscient de ses capacitées.
- de pas faire chier les autres.

Jessy:

--- Citation de: "fincolivier" --- :blink: interessant tout ça...

À croire qu`une culture équestre va dans le sens: on garde tout les chevaux entiers et on castre ceux qui sont vraiment ingérables...
Et une autre culture équestre qui va plutot vers: on castre tout les chevaux, et on garde entier ceux qui vont reproduire...

Si je ne m`abuse, il y aurait une culture équestre qui prends en considération le mental des chevaux, au détriment parfois de la morphologie
Et une autre qui prends en considération surtout la morphologie, au détriment parfois du mental...

Enfin, moi je dis ça, mais en même temps je dis rien hein...

En ayant quelques entiers à la maison, je suis quand même plus souvent confrontés à des problèmes d`éducation des cavaliers que d`éducation des chevaux...


--- Citer ---Déjà que plus de la moitié des proprios de chevaux n'arrivent pas à gèrer une jument ou un hongre, alors gérer un entier avec ses couilles (qui le travaillent ou non), je pense que c'est se mettre des complications supplémentaires....
--- Fin de citation ---
Ah bon... Moi je dirais que c`est juste le devoir de bien respecter des rêgles de bases, qui ne sont pas toujours drôles, d`où la solution de facilité.
--- Fin de citation ---
ceci dit... ce que je vais dire a surement déja été dit mais sur le nbres de cavalier en france proprio ou non il y en a pas bcp capables de gérer un entier et de réagir intelligemment et en connaissance de cause avec un entier.

il faut reconnaitre que la grande majorité des cavaliers francais sont des "amateurs" avec un niveau équestre par toujours exclellent ni mauvais pour autant mais qui sont faut le reconnaitre trés souvent limités ds la connaissance du cheval et de son comportement... ds mon entrourage j'en connais bcp qui ont une philosophie du cheval qui fait peur et pour ces personnes la heureusement qu'il y a des hongres... sinon on irait a la catastrophe assurée...

en même tps on peut pas interdire aux gesn d'acheter un cheval si il veulent même s'ils ont pas les connaissances nécessaire.
et on peut encore moins les forcer a lire des ouvrages, regarder des émission ou simplement observer des cavalier et professionnels du cheval travailler, afin d'apprendre a mieux gérer leur cheval et srtt a mieux le connaitre...

pour eux heureusement qu'on castre les chevaux...

thierry:
 Quant à çà:


--- Citer ---De quelles manières s’instruisent nos jeunes cavaliers ? Pris par leur
études ou leurs occupations professionnelles, il s’adonnent à l’équitation dès qu’ils peuvent disposer d’un instant de liberté. Isolés ou
membres de sociétés hippiques urbaines ou rurales, ils suivent des cours aussi régulièrement que possible, souvent le soir dans les centres
urbains. La plupart attendent avec une impatience non déguisée « la minute », c’est bien le terme exact, qui leur dévoilera les émotions
(enivrement ou désillusion !) d’un parcours d’obstacles.
Certes, leur amour du cheval ne peut être mis en doute, mais ils sont trop livrés à eux-mêmes. L’autorité des instructeurs civils ne peut être
aussi efficace que la discipline militaire et dans leur désir de s’instruire, ils quêtent des conseils auprès d’un trop grand nombre de leurs aînés avant d’avoir acquis des principes solides et avant d’être suffisamment débrouillés. Étant donné la relativité de l’application des théories en équitation, ce dont ils sont encore incapables de se rendre compte, il en résulte une grande confusion dans leur esprit et des essais malheureux qui nuisent aux progrès au lieu de les faciliter. Les classes à cheval, sous les drapeaux, conduites, du commencement à la fin, par le même lieutenant, réunissaient autrefois cette unité d’instruction si désirable au début et si difficilement réalisable auprès des cavaliers civils abusant de leur liberté de discussion, trop tentés de mettre la charrue avant les boeufs, et souvent victimes des nécessités de l’existence trépidante de nos jours.
Cette « équitation des gens pressés » due au manque de loisirs, ou à des loisirs trop diversifiés, est néfaste à l’éducation de l’homme de cheval et explique en partie les lacunes parfois grossières dans la connaissance et l’usage général du cheval chez de jeunes cavaliers déjà expérimentés dans la monte sur l’obstacle.
L’esprit de contestation qui se manifeste à tort et à travers et dans tous les domaines depuis 1968, ne peut que nuire à l’étude de longue haleine qu’exige l’équitation et nous ne pouvons que souscrire à l’opinion du colonel Podhajsky' lorsqu’il énonce : (pour la suite voir psychologie du cheval, edition 1989 page 24)

--- Fin de citation ---

be, tiens, en 1917, au chemin des dames, on était tellement près des allemands, qu'on avait pas le temps de recharger les fusils.
On se jetait les balles à la main!
c'est pas comme ces voyoux de cavalier d'après 68 qui montent à cheval avec des cheveux longs et sans sabre.
Si le général voyait çà, y'aurait même pas besoin de le castrer, elles tomberaient toutes seules!
Vingt' d'iou!
A notre époque tout part à vélo!

Ha, la nostalgie militaire, tout un poême!

( Destiné à l'auteur, et non à Jenech qui n'a fait que citer)

 

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