Courage dans cette épreuve encore fraîche.
Lors du décès de ma vieille jument, je me suis raccrochée à son filston et au père du filston. Et 3 ans après, je suis bien contente de ne pas m'être séparée de l'un ou de l'autre, car je l'aurai regretté. Aujourd'hui, j'ai fait le deuil de mon amie (29 ans de vie commune, tous les jours) et j'arrive à parler de Sultane sans douleur, mais ce fut horrible. C'est ainsi, nous autres, humains, vivons plus longtemps que nos bourricots d'amour...