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Vaccination Grippe H1N1

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Musette:
 Aujourd'hui dans le Temps (journal Suisse)

Il y a eu le syndrome respiratoire aigu sévère, puis la grippe aviaire. Quand la grippe porcine H1N1 a fait irruption au printemps dernier, il y avait au moins une bonne nouvelle: l’humanité était préparée. L’épidémie a pu être modélisée, anticipée. Or la réalité ne correspond pour l’instant pas aux projections. L’Organisation mondiale de la santé (OMS) décompte 5000 morts alors que la grippe saisonnière en fait entre 250 000 et 500 000 chaque année. Si ce développement est heureux, il met les autorités sanitaires face à une crise de crédibilité, teintée de suspicion à l’égard des entreprises pharmaceutiques. Plusieurs d’entre elles affichent en effet une santé économique radieuse, notamment grâce à leurs produits antigrippaux. Les vaccins suscitent en outre une vague de méfiance. Une bonne partie de la population, y compris parmi le personnel médical, n’a pas l’intention de se faire vacciner. Le point sur la gestion de l’épidémie avec le virologue Luc Perrin , professeur honoraire de la Faculté de médecine de Genève.



Le Temps: En a-t-on trop fait?

Luc Perrin:
C’est une question difficile. On a agi sur le principe de précaution et on était en droit de prendre des précautions. Le souvenir du virus de 1918, qui a fait des millions
de morts, était présent à l’esprit des experts. Ceux qui ont fait
les prévisions sont parmi les meilleurs dans le domaine. Je comprends l’appréhension des autorités, à mon avis, c’était justifié. Comme ce virus semble moins pathogène que la grippe habituelle, on a l’impression d’en avoir trop fait. Mais il faut rappeler que, contrairement à la grippe saisonnière, ce virus tue les jeunes.

– Comment les autorités sanitaires doivent-elles gérer le décalage entre la réalité et les prévisions?

– Les autorités sanitaires ont suivi les recommandations des comités d’experts de l’OMS, qui peuvent aussi se tromper. Il faut faire le point à la fin de la saison, être honnête, expliquer que même en séquençant le génome du virus, on n’a pas d’élément génétique concret qui nous renseigne sur sa virulence. On est obligé d’observer ce qu’il se passe in vivo.

 N’y a-t-il pas un risque de perte de crédibilité, dangereuse en cas de nouvelle épidémie?

– Oui, c’est la grande crainte. C’est pour cela qu’il faut faire preuve d’humilité, avoir le courage de dire qu’on a fait au mieux et qu’heureusement, on s’est trompé.

– Est-ce que cette épidémie peut encore tourner à la catastrophe?

– Les chances diminuent chaque mois. Et la campagne de vaccination va encore les faire baisser.

– Le scepticisme grandit au sein
de la population, beaucoup
de gens ne se feront peut-être pas vacciner.

– C’est la même chose pour tous les vaccins. Il y a beaucoup de sceptiques, la couverture contre certaines maladies est donc insuffisante en Suisse. Une enfant est morte de la rougeole récemment parce que ses parents ne voulaient pas la vacciner.

– Est-ce que commander 13 millions de doses de vaccins, c’était trop?

– Au début, on pensait qu’il fallait deux doses, même peut-être trois. Ce sont les aléas de la science. Si la Suisse en a trop, elle peut toujours en donner aux pays qui en ont besoin. Bien sûr, les firmes qui ont dépensé de l’argent pour développer les vaccins ont peut-être voulu rentrer dans leurs frais. Il faut se rendre compte que c’est du business. Mais c’est grâce à ce business qu’il y a quelqu’un qui sait produire un vaccin quand on en a besoin.

– La Suisse a-t-elle dû commander beaucoup de vaccins pour ne pas être livrée en dernier?
– Si nous en avions commandé un million, peut-être que nous aurions passé après tout le monde: qui paye reçoit. On peut dire qu’il faut faire payer plus d’impôts aux entreprises pharmaceutiques, mais on ne peut pas leur reprocher de vendre à ceux qui payent. Si l’on veut qu’il en soit autrement, il faut que les gouvernements produisent eux-mêmes les vaccins et ce sera encore plus cher.

– Les pharmas ont-elles trop d’influence sur l’OMS?

– Leurs experts ne sont qu’une minorité au sein des groupes de l’OMS. Par contre, les professeurs d’université sont parfois engagés comme consultants par les entreprises. Et bien sûr, elles veulent les meilleurs. Donc, si on ne veut pas se priver des meilleurs, on retrouve les mêmes personnes. Cela peut poser problème, il faut y être attentif. Mais s’il peut y avoir des gens malhonnêtes, ce n’est, à mon avis, pas la majorité. Ce genre de choses finit toujours par vous retomber dessus.

Les pharmas n’ont-elles pas intérêt à entretenir la peur du virus pour vendre leurs vaccins?
– La question est délicate. C’est clair qu’après avoir investi dans le développement d’un vaccin, elles sont un peu obligées d’être du côté des alarmistes pour le vendre. Mais on ne peut pas leur demander de produire un vaccin et ensuite leur reprocher de vouloir le vendre.

– Quelle leçon peut-on tirer de cette expérience?

– Il n’est pas normal que 50 millions de porcs par année soient produits de manière industrielle dans une région grande comme la Suisse romande, sans surveillance épidémiologique, à proximité de poulets et d’êtres humains. Cette fois, on a eu de la chance, mais la prochaine fois, ça pourrait être une catastrophe.

 

KAT:
  :ptitebiere:  :ptitebiere:  Musette

Je n'ai pas encore terminé mes études, le labo m'aurait passionné mais je ne suis pas sûre de vouloir faire 9 ans d'études...  :ange:  

pikinette:
 
Par Paul Joseph Watson
Prison Planet
Mercredi, 13 mai 2009

L'un des premiers scientifiques à bien analyser la structure génétique du soi-disant virus de la grippe porcine qui a émergé il ya trois semaines au Mexique et a conduit à la crainte d'une pandémie mondiale indique que le virus de mai se serait échappé d'un laboratoire.

“Adrian Gibbs, 75 ans, qui a collaboré a une unité de recherche qui a amené au développement du vaccin des laboratoires Roche situés en Suisse, raconte dans une interview qu’il a l’intention de de publier un rapport suggérant que la nouvelle souche du virus de mai a évolué accidentellement à cause des scientifiques qui utilisent des virus afin d'augmenter l’activité de l’industrie pharmaceutique pour fabriquer les vaccins, selon les rapports de Bloomberg News.

L'Organisation mondiale de la santé Gibbs a reçu le rapport de l'étude en fin de semaine dernière et est maintenant en train de l'analyser.

"Une des explications le plus simple est que c'est un laboratoire d'évacuation", a déclaré Gibbs, qui a étudié le germe de l'évolution de quatre décennies, en ajoutant que le virus pourrait avoir été libéré "par hasard" dans une installation de production de virus.

En outre, Gibbs a dit que sa recherche a révélé un taux de mutations génétiques dans le nouveau virus environ trois fois plus rapide que celle de la plupart des virus étroitement apparentés trouvé chez des porcs, ce qui suggère qu'il a évolué en dehors de la peste», affirme le rapport.

Le US Centers for Disease Control and Prevention (CDC ) d'Atlanta s’est empressé de nier le rapport de Gibbs, en disant qu'ils n'ont trouvé aucune preuve pour étayer ses conclusions.

Dans nos rapports, immédiatement après l'épidémie de grippe porcine, nous avons supposé que le virus de mai a été créé dans un laboratoire en raison de son caractère hautement synthétique, qui est une combinaison de plusieurs souches inédites intercontinentales de l'homme, de virus aviaires et porcines d'Amérique, l'Europe et en Asie.

Comme nous l'avons signalé en mars, la compagnie pharmaceutique Baxter International, la même compagnie choisie pour faire le vaccin contre la grippe porcine, a été chargée de la distribution de vaccins qui ont été repris par 18 différents laboratoires en Europe, qui ont été infectés par le virus mortel de la grippe aviaire, .

Des journaux Tchèques se sont interrogés, à savoir si la libération de ce virus a été le cadre d'un complot délibéré pour provoquer une pandémie.

En 2006, il a été révélé que Bayer Corporation a découvert qu'un vaccin qui a été utilisé par les hémophiles, a été contaminé par le virus VIH. Des documents internes prouvent qu’ils savaient pertinemment que le médicament a été contaminés en exposant sciemment des milliers, pour la plupart des enfants, au virus actif VIH du SIDA . Le gouvernement français l’a autorisé à être distribué dans les prisons. Les documents montrent que la FDA (Food and Drug Administration) a collaboré avec Bayer pour couvrir le scandale et a permis au vaccin mortel d'être distribués au niveau mondial. Aucun haut responsable de Bayer n’a subi la moindre arrestation ni poursuite sur le territoire des Etats-Unis.

Au Royaume-Uni, en 2007 flambée de fièvre aphteuse qui a mis la Grande-Bretagne en état d'alerte a été l'origine d'un laboratoire du gouvernement qui est partagé avec une entreprise pharmaceutique américaine, à l'image de l'épidémie meurtrière de 2001, qui a également été libérés volontairement.

Article traduit de l'original : http://www.prisonplanet.com/tamiflu-develo...from-a-lab.html

Paru sur Prison Planet

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Le journaliste d'investigation de Washington, Wayne Madsen, dit que "l'apparition de la grippe A pourrait être d'origine humaine".

ici

Source : American Free Press, Mercredi 29 avril 2009

Musette:
 Tu veux pas faire un post à part pour ces histoires de théorie du complot?
Ca devient gavant.
Je comprends pas comment le virus pourrait soit-disant s'être échappé de labos vu les normes de sécurité qui y règnent  :wacko:
Bref, ca commence à me gaver, surtout que ton site original est rempli de pub, c'est pas très crédible.  

pikinette:
 Une source plus actuelle et Française : le Parisien, aujourd'hui même :

ici

Tu veux bien arrêter avec "la théorie du complot", ça n'a rien à voir, c'est juste que beaucoup de médias sont en train de revoir leur positions à propos de cette grippe.

Si on a plus le droit de poster, il faut le dire, ça s'apelle de la censure.

 

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