Equitation - Cheval > LE BON, LA BRUTE ET LE TRUAND

Où Avez-vous Appris à Monter à Cheval ?

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myrtille08:
 moi depuis toute peite j'étais attiré par les chevaux
ma cousine en avait un mais mes parent disait que c'était un sport de riche
donc pendant des année j'ai supprimé ce reve de mes pensées  

mais de l'age de 7 à 12 ans on ait partit en vacance en auvergne et j'ai pu une fois par an monter à dos .....d'ane

alors j'ai attendu quelques mois pour mon anniversaire, au mois d'avril (9 mois d'attente) et j'ai put avoir à mes 13 ans un cour d'équitation dans un club pas très chere (10€ la lecon d'1h)

puis à l'age de 14ans grace à mes bons résultats et pour mon noel et mes anniversaire mais parents ont pu débourser de l'argent pour que je puisse monter 2 fois par mois et donc j'ai put en remettre (grace à des petits travaux comme faire le jardin chez des voisins,peindre des piquets,aider les agriculteurs de mon village...)
j'ai put enfin monter 1an en club et tous les mois :clapclap:  :clapclap:

et à l'age de 15ans j'ai pu économiser pour acheter le juju de mon club que personne n'aimait et aussi grace à mes parents qui ont déménager(à cause des impots en ville) pour vivre au village avec une belle pature

et maintenant je suis en BAC pro élevage et valorisation du cheval

Quidam27:
 C'est super intéressant comme post ! Je viens de tout lire d'une traite ! :lol:

Pour ma part, je n'avais jamais vu un cheval de près jusqu'à mes 7 ans, âge où j'ai fait un mini stage découverte à Belle ile en mer... 1ère sensation, 1ère chute aussi...
Mais depuis toute petite, j'ai été bercée par les récits de mon conteur de grand père. Celui ci avait eu un cheval durant la guerre. Jamais nous avons eu les détails de l'atrocité qu'il a du vivre, toujours ressortait son amour pour son cheval et le lien qui les unissait dans ces moments extrêmes... J'ai toujours rêvé de vivre une telle union.

10 ans, je fais ma 1ère colo à dominance équestre, en viendront plein d'autres. Mais je ne monte qu'une 3 semaines par an, je tanne mes parents pour monter en CE...Comme beaucoup la réponse est sans appel
13 ans, papa entend parler d'une écurie de propriétaire qui cherche une aide pour l'entretien des chevaux, il en parle à ma soeur, qui avait le même parcours que moi à l'époque...Elle, elle a 20 ans, c'est donc a elle que papa en parle, elle n'ira jamais, je me propose à grand cri

C'est parti pour 4 ans de bonheur, l'écurie de propriétaire se transforme au fur et à mesure du temps en équitation de loisirs, proposant des balades et rando.. J'y vivrais des instants magiques... J'y bosse et en échange, je monte dans cet univers familial.

Mais le centre doit fermer, je suivrais l'ate dans une ferme... 2 ans idyllique qui se transforme peu à peu en enfer. Je dois faire 30 km avec ma shtroumfette (ma belle mob' bleue :lol: ) soit 60 km par jour...Plus la journée là bas... Et on remarquera petit à petit que le proprio est un vrai c***ard...
Bref, je partirais, disant adieu à mes souvenirs d'ado...

Puis l'année d'essai dans tous les CE du coin. Je m'arrête au plus près et gagne à 19 ans ma 1ère carte 10heures que les parents m'offrent. Je découvre cet univers "m'as tu vu" et de concours qui commencent à l'entrée de la propriété. Je n'ai jamais aimé le cso, je suis écoeurée par cet acharnement...Je connais mes premières peurs et appréhensions à cheval. Je partirais dès mes 10 heures effectuées.

20 ans, je fais un stage pro dans un centre pour IMC (infirme moteur cérébraux) et y découvre l'équithérapie..J'accorche à fond et décide de mon parcours pro !

Puis 2 ans de creux, sans croiser l'ombre d'un sabot... J'ai découvert l'amour et mon esprit est loin de penser aux chevaux

22 ans, je quitte ma famille, mes amis, mon amour pour la Normandie...J'y ai trouvé mon boulot de rêve.
Une collègue possède une trotteuse dont elle a peur, elle me propose de la travailler. Je retrouve mes sensations...Redébourrage de la belle, 1ères balades avec son nouvel ami Jazz
Je reprends confiance et l'envie qui ne m'a jamais quitté...Avoir mon cheval !

Et à 24 ans, je l'ai mon cadeau de noël que tous rêve... Toute la famille s'est rassemblée et ils m'ont aidé à m'offrir Quidam !

Après vous connaissez la suite... Je me suis abonnée au sab à ces moments... Violà, encore un roman  :lol:  

Guylène44:
 Ceux sont toutes de très belles histoire que vous racontez là, des parcours sommes toutes différents et fort intéressant. :blush:  

Ava:
 Moi je devais être tellement jeune que je ne me souviens pas de la première fois que je suis montée à cheval.
Mes grand-parents habitaient en Normandie, au dessus de l'écurie d'un grand cavalier et s'étaient liés d'amitié avec lui et sa femme. C'est donc naturellement qu'ils nous ont mis, mon cousin et moi, à cheval, très tot, chez ce monsieur.
Pas de poney, on a eu le droit tout de suite aux grands. Je me souviendrai toujours de Kaa, double poons alezane ou petite trotteuse (???), sur qui mes jambes ne dépassaient même pas les quartiers de la selle... Et Sir, pur sang réformé, immense (enfin pour moi à l'époque) et parfait cheval de débutant.
Habitant en région parisienne, on était très souvent fourré chez les grand-parents, j'étais donc déjà une cavalière régulière à 6 ans.
Les chevaux étant tellement bien dressés, je n'avais pas grand chose à faire. Je savais juste les bases et c'était bien suffisant pour aller en ballade ou tourner dans le rond de longe couvert (la plus grosse difficulté dont je me souvienne a été UNE barre au sol, sur laquelle, d'ailleurs, Sir a trébuché et je suis tombée !).
J'ai eu aussi le droit à quelques séances de voltige qui je pense m'ont bien servi à prendre confiance parce que mine de rien, ces grosses bêtes avec leur grosse bouche me faisaient un peu peur. Je me souviens que quand mon cheval était dans le box au fond du couloir, je me baissais pour pas que les chevaux me mangent la tête !  :rire:

Quand j'avais 8 ans, mes grand-parents ont déménagé dans le sud et pas de centre équestre dans le coin (enfin pas dans le voisinage, parce que j'ai découvert que certaines saboteurnautes vivent là bas, donc y avait bien des chevaux, ils m'ont bien eue les bougres !)
Habitant toujours en ville, j'ai donc arrêté l'équitation.

Et puis, en CM2, on est parti en classe verte dans les landes, avec activité poney presque tous les jours. Bin j'ai fait ma craneuse pendant tout le séjour parce que j'étais la meilleures !
La même année, mes parents ont fait construire ma maison actuelle, toujours en région parisienne mais à la campagne. Et ô joie, il y a un centre équestre dans le village !
Inutile de préciser qu'avec la piqure de rappel de la classe verte j'ai commencé à tanner mes parents pour reprendre l'équitation.
Je crois avoir attendu un an, à aller régulièrement au club, papouiller un poney de proprio qui a été mon premier très gros coup de coeur.
Et en 5ème, bingo ! J'ai eu le droit de prendre un cours par semaine jusqu'à l'année du bac où j'ai commencé à sortir très très régulièrement (vendredi soir boite, samedi matin ou début d'aprem équit, samedi aprem direction Paris pour voir les copains de boite et samedi soir boite).
J'ai donc arrêté les cours d'équitation et laissé mon poons (qui entre temps avait été racheté par le club, que j'avais pris plusieurs fois en dp, qui pétait un cable et faisait tomber tous les cavaliers qui ne le connaissaient pas bien) à contre coeur.
Pendant 4 ans, j'ai continué en dilettante, un mois de dp sur mon petit Banco, monté par ci par là, le cheval de ma meilleure amie, chez mon premier coach, chez mon dernier coach, etc
J'avais demandé au patron du club de me prévenir s'il se séparait de Banco, mais je pense qu'il ne m'avait jamais pris au sérieux puisqu'un jour en discutant avec une voisine nouvellement proprio dans ce club, j'ai appris qu'il s'était débarrassé de mon loulou. Et je n'ai jamais réussi à soutirer la moindre info pour le retrouver.
Ca me fait toujours un pincement au coeur de penser à ce poney, tellement génial qu'on pouvait mettre n'importe qui sur son dos, qui, s'il était bossé correctement aurait pu briller en concours, qui, malgré ses heures de boulot au club avait gardé son carafon...

Et l'année dernière, petit tour sur les annonces internet juste pour voir et hop, gros coup de folie, j'ai acheté mon jaune !

Grace à lui, j'ai découvert ce qu'était un cheval (en club on apprend juste à monter dessus et je passais déjà pour une extra terrestre quand je me préoccupais du bien être de mon ti poons).
J'ai découvert l'étho, une approche différente qui force le 2 pattes à réfléchir au lieu de se facher.
J'ai découvert l'extérieur et c'est résolument la direction que je veux prendre avec mon jaune.
Ca et si un jour j'arrive à l'y mettre, l'EW.

Et encore une fois j'ai écrit un roman !  :out:  

Chèvre-Blue85:
  :love2: C'est super toutes vos histoires :w00t:  :w00t:
 Moi, petite, j'habitait à Créteil, alors pas de chevaux dans mes rêves, que des cygnes me disait mes parents ( bizzard non :ermm: ); puis démmenagement radical, un village de 1500 hab dans l'oise, avec des vache dans le village, si si je vous jure!
   Un jour, au collège je crois, est organiser un stage équestre de trois jours, je rencontre Tafi des sources qui a cru bon de me faire valdingué pour mon premier galop, bilan: une bombe fendu et une grosse peur du galop :rire: ;
   puis quelque année après pour un autre stage d'une semaine un moment magique, on a joué au voleur et au gendarme, ou un truc comme ça,moi sur une petite camarguaise qui devais s'amusé autant que moi à evité les autres, un pur moment de fusion avec cette mémére,  pas besoin d'ordre de direction ou d'allure.
   Puis le traditionelle ''trou des études et des amoures" Qui se sont étrangement dirigé vers le monde agricole et surtout l'élevage. Etude à droite et à gauche, une dizaines de leçons en club sans jamais vraiment m'intègrer et petit boulot en attendent qu'un certain hom finisse ses études a lui. et en 2005, l'instalation en chèvre laitière est sur le point de se concretiser et mon hom m'offre un cheval, QUOI!!!!!!  tu est sûr! , lui ai-je dit. il me répond 'oui on va l'essayer'. Il me traine dans un élevage de trotteur et me voilà sur le dos d'une jument, aussi étonné que moi car elle n'avait été selle que cinq fois, au programme de la recontre : DU TROT! mais pas de chute, alors c'est ok.
   J'achete tout les équipements pour une ballade et on part dans les champs, au programme, DU TROT! mais pas de chute!
après cinq ballades au trot, j'ai demender le renfort d'une amie qui est littéralement née sur un cheval. Elle me bricole un "GOG'' je croit et me fait acheter un mors avec du cuivre pour faire salivé la belle et la détendre. elle me montre aussi un exercisse pour détendre la jument et lui fait baissé la tête. Apres quelque mois de se traitement, les ballades était vraiment plus cool et on pouvais s'aprivoiser plus serainement. :oky:
   Mais un maleur arrive, on se fait viré comme des voleurs  :chris: de la ferme tant convoité, avec des menaces de coup de fusil sur ma belle :-( . Allez trouvé une habitation à loué avec un cheval!!! se fut dure mais pas question de la lacher! on a démenager souvant mais toujour avec Mabelle. :clapclap:
   Allez j'arrete le romant tout ça pour dire que j'ai appris à monté avec ma jument et quelle a appris a étre monté avec moi! ( j'aurais dû écrire ca directe ca aurais été plus court)

 

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