Bonjour, je n'ai pas eu la patience de lire tous les messages qui vous ont été adressés, car votre post a produit un véritable effet de masse. Je viens juste vous livrer mon expérience. J'ai eu un trrotteur pendant 2 ans. Je ne m'en sortais pas, car je n'ai pas un niveau extraordinaire. J'ai fait appel à une professionnelle qui s'en méfiait comme de la peste. Alors, je me suis séparée de mon beau diable, à grand regret, mais il arrive un moment où l'animal est moins important que sa propre sécurité. Et puis, malgré ma passion des chevaux, je donne priorité à ma famille, et à moi-même. Depuis, j'ai trouvé Kéops, un SF qui végétait au fond d'un pré. Nous nous entendons très bien : il semble heureux de son sort (ballades, calins et soins attentifs), et moi, j'ai tellement de plaisir à le monter et à le bichonner que je ne regrette pas d'avoir, un jour, eu l'égoïsme de me séparer d'un cheval plus fort que moi, qui me faisiat " c - - - -" au plus haut point.
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Sujet: Dur Dur Parfois La Vie Avec Nos Chevaux (Lu 54847 fois)