Coucou,
J'aimerais que tu m'éclaires si possible au sujet de mon dernier post ici... (ou alors que tu me dises simplement que ça ne me regarde pas

)
Bon, à part ça, j'ai un cas très particulier et j'aimerais ton avis. Je pense que tu as du te rendre compte qu'il y avait quand même de la marge entre la théorie et la réalité, que tous le chevaux ne "réagissent" pas pareil...
Jeune cheval de 3 ans, dominant sur son copain du même âge entier.
A l'époque ne tournait pas en longe, on m'avait prévenu qu'il fallait faire attention> cherche à taper (deux victimes à son actif) ou à fuire, bref, "ailleurs" quoi.
N'ayant jamais eu de soucis à la longe (au début, en effet, il tirait, mais après 2 séances, nickel), ayant effectuéetoutes les phases de débourrage.
A pied, TOUT s'est toujours bien déroulé, ce cheval est l'un de mes meilleurs élèves, toujours très attentif, proche et respectueux.
J'ai pu le monter sur plusieurs séances, montoir nickel, dans les aides, juste quelques soucis pour passer à quelques endroits, comme un jeune cheval normal, quoi.
Peu à peu, il arrivait des séances intermédiaires "difficiles" : paf, je stoppe pile et je me lève et je me lève jusqu'à ce que je le remette devant avec ma cravache au cul sur plusieurs tours (sinon, pas moyen de l'avoir sur ses 4 membres).
Ce genre de "scènes" s'est de plus en plus rapproché jusqu'à "finir" sur du "j'essaie de jeter vraiment"... je suis du genre courageuse mais j'ai vraiment eu les jetons cette fois-ci, je suis descendue... j'ai rebossé à pattes mais "brave cheval-on lui donnerait le bon dieu sans confession"... je remonte, et j'effectue un semblant de tour de manège "sans résistance" de sa part mais avec un paquet de nerf près à péter sous la selle.
Ensuite, pouf, je me suis explosée mon épaule... et un cavalier m'a remplacé. Lui, téméraire, courageux bref, qui lui monte dessus après l'avoir longé après 2 semaines d'inactivité. (il a été prévenu, évidemment, de son côté lunatique et impulsif)
Vlà, qu'à peine dessus, le voici chevauchant un animal volant... le mot est faible, car ce cavalier britannique travaille pour un grand Mr du cheval en Allemagne (il tourne en CSI et n'a peur de rien, lui, il monte souvent sur des puissances, etc.) et il en a vu des "cas" mais il n'a jamais monté un cheval de sa trempe !
Avec ses "propres" techniques, il a essayé de se retourner avec mais il est bien trop "fort" et tient bien sur ses postérieurs.
Bref, il s'en est occupé un temps pendant ma convalescence mais ensuite, mi-décembre, il a du partir et depuis cette période, je ne m'occupe de ce cheval qu'à pied car j'avoue avoir mnt "les boules" de me reblesser...
L'ayant eu au téléphone, il m'a expliqué comment "faire"...
Le longer pendant au moins 20mn aux allures vives, histoire de le "fatiguer"
(supeeeer... jusque là, je ne longe pas les jeunes chevaux avant de les monter (une fois débourrés) et je demande au cheval d'être "calme" et de canaliser son jus, ce qui fonctionne très bien depuis plus de 10 années de débourrages, entiers, juments, hongres, tout confondu)
Cependant, ce cheval est calme et à l'écoute en longe, ce qui quand les pbm ont commencé, ne changeait rien.
Mais c'est sûr, je vais chercher à l'épuiser avant... par éviter un suicide assuré. :lunette:
(à moins que tu, vous, trouviez des remèdes miracles)
Ensuite, ce que fait ce cavalier, c'est de le monter dans son box, comme ça, tu peux te rattraper s'il se cabre :-(
et normalement, me dit-il, je devrais survivre une fois sortie du box, sur ce "machin" pour battifoler dans le manège.
:wacko: je me suis tjs dis "oh, non, jamais de trucs comme ça de ma vie"...
MAIS, il faut bien que je me fasse violence, je dois pouvoir le présenter très bientôt, monté, dressé et sautant qq cavaletti !
(le pire, c'est qu'il y a quelques temps, j'ai pu enchainer qq cavaletti avec son intérêt, son consentement, les doigts dans le nez)
Je ne sais pas... ce qui se passe dans sa tête, ce qui a entraîné ses réticences !
Je précise que la selle, le cavalier sur son dos ne le dérange pas, ou en tout cas, jusqu'à ses gros soucis, le cavalier ne le dérangeait pas... je me sentais bien pendant quelques semaines de travail avec lui, sur son dos.
Donc, Gualgera, que proposes-tu dans ce cas de figure?
Les autres, avez-vous rencontré un cas comme celui-ci ? Que s'est-il passé ? Comment y remédier sans se tuer ?